Li-Bel est plus qu'un simple marque-page, quand bien même il serait intelligent. Sur son site, Tassiana le décrit comme un objet qui « fait le lien entre le livre imprimé et l'univers numérique ». Par quel miracle ? Il s'agit d'un outil destiné à enrichir la lecture, par le biais d'informations additionnelles que le lecteur reçoit.
Tassiana envisage ainsi que Li-Bel puisse agrémenter la lecture avec « des images, des sons, des vidéos et des textes de référence ».
Cette petite tablette, pas plus grosse qu'un coin de page, est dotée d'un écran tactile, conçue en papier électronique. « C'est en expérimentant autour de la notion d'hybridation que j’ai développé Libel, un assistant de lecture basé sur l’association des supports, papier et numérique. »
Présenté le 24 novembre au monde, sur le blog, mais également présent à Restitution du Carrefour des possibles en île de France (le site), Li-Bel faisait partie des 10 projets présentés durant cette 65e édition. Cette dernière était dédiée « à l’Internet des objets, et faisait partie du programme des Entretiens du Nouveau Monde Industriel (ENMI) ».