Trטs chers lecteurs,
La boule du bedon
est toujours bien prיsente (...) et le petit Soliblog se trouve de fait
encore et toujours en יtat d'hibernation א durיe indיterminיe, sa
vieille maternelle (= ego) n'יtant pas en mesure d'assurer le cours
normal de sa vie, pardon, de ses programmes - א moins que vous ne
souhaitiez que je m'allonge sur votre canapי en velours beigeasse et vous narre en geignant cent trente quatre nuits et jours durant mes
webmaistriales souffrances qu'א cפtי le Christophe Maי (beurk) il peut
aller se recoucher.
Sauf que oui mais non, on a sa pudeur, on n'est pas lא pour raconter ses malheurs.
Auprטs de tes lecteurs jamais ne te plaindras.
La boule du bedon, non, n'exploseras pas - aprטs il y aurait tellement de
beurk partout sur leur canapי en velours beigeasse qu'א cפtי le
beurk du Christophe Maי ce serait pas si mal finale... non, on n'est pas tombי si bas quand mךme !
Ainsi donc, depuis des mois des jours des heures je n'יcris plus.
Aux messages je ne rיponds pas.
Et pourtant... je suis lא .
Si.
Pire que le chien fidטle.
Je suis lא (si) et vous aussi y ךtes (lא) (si), qui chaque jour א vos risques et pיrils bravez les יlיments pour venir jusque lא (ici) "Parce qu'elle va bien un beau jour ou peut-ךtre une nuit nous le donner ce
signe de vie que nous attendons tous, nous,
lecteurs pires qu'un troupeau de colleys amיricains !"
Ayי !
Donnי !
Je vous laisse mיditer cette profonde pensיe cigogno-strasbourgeoise...
et m'en vais bגillonner le Christophe Maי qui aura rיussi א pourrir mon billet - mais aussi, rendons-lui cette grגce, mon bedon douloureux quelques minutes me faire oublier...