Un jour peut-être
Quand je ne serai plus que poussière
Et s’il vous arrive de lire mes poèmes,
peut-être aurez-vous des battements de cœur
Et, troublé, partagerez-vous ma lourde peine ?
Lecture achevée, sans doute en soupirant,
Vous vous direz, en tremblant :
Cette femme a donc existé ?
L’Amour séparé donne-t-il tant de souffrance ?…
Ne pleurez pas en lisant mes poèmes :
J’ai été l’Elue qui a tout reçu
Et qui a tout donné.
Notre bonheur a été partagé.
(Iou Stara)