Mêlant le fantastique et la dérision, Lanfeust de Troy met en scène, grâce aux coups de crayon de Didier Tarquin, un forgeron doté de pouvoirs magiques. Les huit précédents albums se jouaient dans l’espace, dans un cycle intitulé « Etoiles ». Mais, dans cette nouvelle série, Lanfeust revient à Troy, vingt ans plus tard.
Devenu riche grâce à Lanfeust, Scotch Arleston continue de développer sa série « par plaisir », se définissant comme « un boulimique de travail », confie-t-il à l'AFP. Si on lui demande d’expliquer les raisons du succès de Lanfeust, Scotch Arleston invoque de l’heroic fantasy qui ne se prend pas au sérieux. Du trop sérieux ne serait pas passé. C’est le mélange de l’humour et de la fantasy qui a permis à Lanfeust de devenir aussi populaire.