Le parcours, hum... je ne suis pas certaine de l'avoir compris. Il y a plein de thèmes, les uns à la suite des autres, mais de là à dire qu'il y a une suite logique... Cela dit, c'est peut-être de ma faute, car arrivée à mi-parcours, j'ai arrêté de lire les textes pour juste regarder les photos. Et du coup, j'ai une folle envie de regarder la Dolce Vita.
En revenant vers le Louvre, prise de folie, je suis entrée aux Arts Déco et ai demandé un billet pour les collections permanentes. Attention, ce que je m'apprête à raconter peut choquer la majeure partie d'entre vous.
Tout d'abord, en entrant, je me suis rendue compte que quelque chose n'allait pas... La file d'attente ressemblait furieusement à celle d'un magasin de jouets à cinq jours de Noël. Il faut dire qu'avec l'exposition Playmobil, c'est un peu le cas du musée en ce moment. Donc des gamins partout. Des gamins qui sautent dans les escaliers, des gamins qui jouent à glisser sur le marbre, des gamins qui escaladent les Plamobils géants. Et des gardiens de salle qui ressemblent plus à un service de sécurité de finale de coupe du monde de foot que d'un musée parisien.
Et moi, cette visite express m'aura permis de monter au 4e étage, et de voir les salles de la fin du XIXe dans lesquelles je n'avais jamais mis un orteil. Et d'y découvrir de magnifiques horreurs.
Lo, muséifiée pour une semaine