Flashback#8 : Le Retour de notre semaine "Christmas Playboy"

Chez Darkplanneur, on adore Noël ! Mais comme il neige dehors, il est important de réchauffer l'atmosphère avec le retour de notre semaine "Christmas Playboy", ainsi chaque jour nous vous révèlerons une Femme ou un Homme, qui ont marqué l'année 2009, un véritable Cahier de Tendance du Féminin et Masculin Contemporain, cette semaine se terminera le lundi 28 par la publication d'un Cabinet des Curiosités Exceptionnel, celui de Marc Dorcel, en attendant un Flashback sur notre "Christmas Playboy" 2005

Playmate 1 "Christmas Noel 2005" : Frédéric Bel

Frédérique Bel est un cocktail rare : une beauté ravageuse de top model lingerie (la belle est bien trop sexy pour faire de la Fashion), un second degré ravageur, une créativité hors norme portée par un univers (visuel et sonore) unique.
Dorothy Doll est exceptionnelle ! Elle donne une vraie claque à la "discrimination anti blonde" si présente dans notre beau pays. Je l'adore...c'est mon premier cadeau de Noël !

Playmate 2 "Christmas Noel 2005" : Scarlett Johanson

"Times New Roman";">En 2005, elle a prouvé qu'elle n'était pas la créature de Sofia Coppola, elle a réveillé d'entre les morts, Woody Allen, qu'on croyait perdu à tout jamais pour le cinéma. Elle est certainement l'actrice Hollywoodienne, la plus active de sa génération, beauté hors norme loin des standards marketing... à la fois charnelle et ingénue...c'est notre deuxième playmate du « Playboy Christmas » : Scarlett Johanson !

Sirène contemporaine...

L'année 2005 a été pimentée par la rivalité naissante entre Kristen Dust et notre pulpeuse Scarlett. L'année 2006 semble encore plus prometteuse, avec un fight entre Marie Antoinette et l'adaptation tant attendue du Dahlia Noire. Au final, notre blonde platine vient de remporter un contrat de plus de 4 millions de dollars avec la division shampoing de l'Oréal, de quoi faire grimper notre tension d'érotomane capillaire.

Playmate 3 "Christmas Noel 2005" : Kate Moss

Plus personne ne croyait en elle, on la disait finie, la brindille était devenue trop sulfureuse... Mais voilà, Kate Moss nous revient encore plus forte en cette fin d'année, enchainant les couvertures et les nouveaux contrats..Et ça c'est un merveilleux cadeau de noël qu'elle fait à tous ses fans dont moi!

Icône d'une beauté scandaleuse...

D'abord lâchée par des marques qui se sont voilées dans leurs beaux draps de pudibonderie (d'hypocrisie), elle est de nouveau de retour.. et certains qui l'avaient enfoncé sont aujourd'hui les premiers à se réjouir de son come back..Jalousie , Trahison, Hypocrisie, Champagne, Sourires...le luxe aujourd'hui est le reflet d'une société en perte d'identité: c'est un peu notre Dallas à nous!

Playmate 4 "Christmas Noel 2005" : Kate Moss

Eva Longoria est l'incarnation d'un féminin latino, elle est Fantasme ! Un chef d'oeuvre aux piments fait d'intelligence charnelle, de jambes architecturales et d'humour ravageur. Le féminin fait pour dompter notre Hétérock !

Son personnage "Gabrielle" (forcément un saint, pour le moins trouble) dans Desperate Housewives précise notre vision de la femme sud américaine : une femme qui sait exactement ce qu'elle veut, qui dit ce qu'elle pense, qui prend des risques, excitante, courageuse et vivante...c'est simple depuis que je suis fan de Eva, j'ai demandé la nationalité mexicaine et je regarde en boucle les épisodes des Feux de l'Amour.

Playmate 5 "Christmas Noel 2005" : Dita Von Teese

Un Noël sardonique aujourd'hui avec une playmate de l'extraordinaire, l'ex maîtresse bandage, Dita Von Teese, madame Marilyn Manson, mondialement connue pour ses performances "érotico artistique" dans des coupes de champagne géantes. Son apparition dans le clip "Mobscene" de la rock star a fait d'elle une reine du mouvement Burlesque et une égérie de mode, notamment pour Vivienne Westwood.

Une créature de la nuit prête à vous dévorer...

Dita Von Teese est l'égérie du mouvement culturel Burlesque, mais qu'est ce que le burlesque? C'est une contre culture, tout droit inspirée du libertinage, de la légèreté et de l’extravagance chers au XVIIIème, mêlant humour, autodérision (parodie, vaudeville) et séduction (cabaret, strip tease)…
Cette philosophie présente un féminin au pouvoir sensuel: on passe du corps objet de l’ère pornochic au plaisir mis en scène, maîtrisé, et assumé.