Dans un communiqué relayé par l'AFP, il a affirmé : « Il s'agit là d'un acte fort en faveur de la sauvegarde des milliers de logements étudiants de la cité universitaire ».
Revenant sur la polémique autour de la destruction et reconstruction dans un autre lieu de plusieurs chambres, il a déclaré que les logements : « doivent être réhabilités et non détruits comme le souhaitent les élus UMP de la Communauté d'agglomération des Hauts de Bièvre, nouveau propriétaire du site, qui veulent livrer ces terrains à la promotion privée ».
Il a aussi indiqué que la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse « n'a pas pris part au vote, tout comme l'ensemble du groupe UMP ». La ministre avait, elle, opté pour un plan de restructuration promettant que chaque chambre détruire serait remplacée par 1,2 chambre d'une plus grande superficie.