C’est pourquoi le conseil d'administration de l'Université Paris-IV Sorbonne a voté une motion pour que l’on s’engage, avec les ministères concernés, dans une « révision profonde » de l’actuel projet de réforme, rapporte l’AFP.
L’organisation des deux années constituant le master enseignement semble se faire en dépit du bon sens et c’est ce que dénoncent déjà depuis longtemps plusieurs syndicats.
Devant la surcharge de la seconde année de ce master, les présidents d’université restent perplexes sur les modalités concrètes d’organisation qu’ils devront mettre en œuvre après l’adoption du texte. Pour l’instant, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse a voulu se montrer rassurante, ne fermant pas la porte à la discussion.