Je commence par « le Diable s’habille en Prada ». Quand j’ai vu ce film pour la première fois, j’ai passé plus d’une heure à me demander d’où je connaissais le type qui interprète le journaliste opportuniste avec qui l’héroïne a une fugace liaison. J’avais fini par flemme essentiellement à me résoudre à l’idée qu’il ressemblait à quelqu’un et qu’en vrai je ne l’avais jamais eu ailleurs. Énorme erreur, aujourd’hui les sériphiles avertis me diront que Simon Baker (cf photo) joue dans « the mentalist », que je n’ai pas encore vu, ce à quoi je leur répondrai que je le connais surtout pour sa participation à « Hartley cœur à vif ». Ne me demandez cependant pas dans quelle saison, parce que je suis incapable de m’en souvenir. A priori d’après wikipédia, il jouait un prof. Les fans de la série savent que Katarina est apparue dans les premières minutes de « Matrix ». Comme quoi, Hartley mène à tout.
Récemment, j’ai envie vu l’adaptation en film d’un de mes romans favoris de Nick Hornby, « à propos d’un garçon ». Si le long-métrage est sympa et met en scène notamment Hugh Grant, je vous conseille cependant chaudement le bouquin qui est bien plus drôle et qui mérite le détour. Dans ce film, le petit gamin, que le héros va prendre en amitié, est torturé par ses vilains camarades parce qu’il a une drôle d’allure. Pourtant devenu grand, le gosse va devenir Tony, le héros d’une de mes séries anglaises favorites de ces dernières années, « Skins », et il sera drôlement populaire dans cette incarnation là. J’ai placé la première saison de « Skins » sur ma liste de cadeaux de Noël et je vous conseille la série diffusée occasionnellement par Virgin 17, ce qui m’a permis de la découvrir.