je vis

Par Plouf
j'ai craint de te déplaire,
tu plaisais à ma mère,
alors ya rien à faire,
je suis resté pépère!
la vie t'a tout donné,
mais pour moi rien n'y fait
je suis le mouton noir,
qu'on met vite au placard!
de toi et tes enfants,
qui est le plus méchant,
la réponse pourtant,
est osée maintenant,
il n'y a plus que Rien
Entre moi et les Tiens,
j'apprécie leur paresse,
leur indélicatesse!
contre la maladie
je me bats aujourd'hui,
sans pertes ni profits,
car désormais je vis!