J’ai trop couru, malgré ma peur
Dans l’espoir vil, de trouver ce que je cherche
Une âme vraie, dans cette mer d’âmes sèches.
Par amour, par amitié, par besoin
J’ai trop couru, en vain
Au pas de course, contre la montre
Pour trouver enfin, ce qui me hante
Au bout de la route, au bout du chemin
Je jette la serviette, le cœur de travers
J’arrête de courir, j’arrête de mourir
Car je sais maintenant que jamais je trouverai, ce que j’ai tant cherché.