Magazine Environnement
Une conférence très intéressante a eu lieu aujourd'hui au Klimaforum (en parallèle au COP-15). Le titre: Tar sands oil is blood oil.
Plusieurs panélistes, dont Élizabeth May, cheffe du Parti vert du Canada, ont entrepris une croisade contre les sables bitumineux canadiens. Cependant, ce que j'ai pu comprendre, c'est que le Canada est loin d'être le seul responsable de la chose.
En effet, le Royaume-Uni est, et de loin, le plus grand investisseur dans les sables bitumineux canadiens. Et les organismes britanniques se sentent responsables et font d'énorme efforts afin de combattre les sables bitumineux.
Mais Mme May a soulevé un excellent point, les sables représentent un réel danger pour l'économie canadienne. En plus de rendre les relations internationales plus difficile avec les pays plus environnementaux, les manufacturiers canadiens souffrent de plus en plus de la force du dollar que donne les sables bitumineux.
Évidemment, la conférence a surtout parlé de la manière dont sont traités les peuples d'autochtones et la méthode de "consultation" qui est utilisé qui n'ont évidemment aucun sens...