J'aurais bien mis « M. », mais cela aurait dissipé l'idée de connivence entre lecteurs que j'aurais avec ce brillant chroniqueur. Normalement j'évite les adjectifs, mais en l'instance, « brillant » s'impose. Des œufs à la neige, en effet, un don de l'homme (et pas du ciel). Qui réchauffe le cœur en ce fretissime matin de décembre, où même le soleil glace la vitre.
Vive Gracq, vive Roussel, et tant pis pour les connes littéraires.
Pierre Foglia : Des oeufs à la neige | Pierre Foglia