Le Soleil et le nain CO2

Au risque d’être étiqueté comme un épouvantable «négationniste» à éradiquer au plus vite, revenons sur le fameux réchauffement climatique tel que l’on veut nous l’expliquer : j’évoque bien sûr la responsabilité humaine et le diable carbone : pleine actualité à un moment ou Copenhague bafouille et surtout, symptôme d’une intolérance en pleine expansion. Ceux qui profèrent le moindre doute ou simplement une interrogation sur la pertinence des arguments fournis, gagnent le statut d’hérétiques à brûler en place publique quel qu’en soit le coût carboné.
Une telle outrecuidance du simple questionnement peut vous valoir diabolisation. Vous risquez la relégation au niveau de ceux qui posent des questions sur le 11 septembre tel qu’il est raconté aux enfants ou, plus grave, qui ne reconnaissent pas l’existence de la Shoah  ! Le point Godwin n’est jamais bien loin pour les nouveaux religieux du 21ème siècle.

Sur « Planète » il y avait  matière à réflexion à propos d’un documentaire (remontant à quelques mois) dans lequel des scientifiques renommés et reconnus sur le sujet s’exprimaient (on ne pourra pas m’accuser d’Allègromania “)

La phase actuelle de réchauffement n’est pas niée, mais le carbone humain trop permissif n’y jouerait pas le rôle principal. Le véritable responsable est bien plus  magnifique et autrement puissant : Le SOLEIL … et son activité capricieuse, encore imparfaitement comprise. Le Dieu SOLEIL, ou plutôt le monstre comme l’exprime l’un des intervenants dans le film de référence.

La courbe du CO2 loin de précéder ou simplement se calquer sur les températures ne s’élève que progressivement et avec beaucoup de retard par rapport à l’ascension thermique. Ce pauvre CO2 ne serait en fait qu’un thermomètre, pas un effecteur ni un acteur de premier rôle.

Carbone contre SOLEIL : un nain en face d’un monstre !

Mais alors pourquoi toute cette agitation, ce parti-pris des médias en presque totalité, des gouvernements, des ONG etc. ? : l’argent !

La désignation du méchant CO2 est un véritable pactole : une source énorme d’emplois dans les pays développés dores et déjà et encore plus demain, de la valeur ajoutée, des rentrées fiscales dans les caisses des États, d’échanges de “points carbone” au sein des entreprises … C’est aussi quelque part un nouvel asservissement se voulant consensuel à des règles nouvelles : une nouvelle donne. Le jeu économique actuel s’essouffle, patine, changeons les règles.

Les interventions d’un des cofondateurs de Greenpeace, ne sont pas les moins intéressantes du document. Il exprime son dépit par rapport à son engagement initial et la prise de pouvoir au sein de l’association, des intégristes politiques et uniquement politiques. Ils ne recherchent plus la justesse d’une thèse, la vérité d’une hypothèse ; ils sont en quête uniquement d’un produit de déstabilisation politique.
La pire des tares de l’évolution actuelle des esprits sur la question, réside pour lui dans le fait que cette théorie de l’homme responsable par son hyper-consommation carbonée, sera un des facteur du maintien en misère des pays non développés.
C’est bien d’ailleurs la difficulté de Kyoto, Copenhague et demain d’ailleurs : comment aider ceux qui meurent du manque d’énergie et à quel niveau ?

Chers lecteurs, l’important sur ce thème comme pour d’autres, est de douter systématiquement des enseignements doctes, de se méfier des péremptoires de tout poil, et d’écouter les avis divergents.
Il n’est pas certain que nous en aurons toujours la liberté ou la possibilité. Ainsi vous trouverez ci-dessous les extraits du documentaire de “Planète” et les conclusions d’une conférence du Pr Courtillot et par un  simple “clic” vous pourrez facilement visionner la totalité.

Au fait ! Tout à fait autre chose : vous avez déjà mis un glaçon dans une verre ainsi rempli à raz bord ? La prochaine fois, laissez le fondre et appelez-moi si le verre déborde.

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