Google wave et ses promesses
J’ai déjà parlé à plusieurs reprises de google wave tant le buzz démarré au printemps prédisait la killer application qui allait révolutionner le mail et les discussions en ligne.
Je n’ai réellement commencé à utiliser la vague prometteuse qu’il y a quelques jours grâce à Hayat qui a lancé un grand débat en ligne sur la notion de community manager. D’ailleurs, je vous invite si cela vous intéresse à consulter le groupe e-reputation qui relaye les débats qui sévissent sur google wave.
Premier constat
C’est loin d’être la panacée annoncée. C’est très lent, pas ergonomique. Les discussions sont difficiles à suivre. Une des particularités de ce tchat amélioré est la possibilité de voir s’écrire, devant vos yeux ébaubis, les blips (messages) en direct. On suit à une allure toujours très lente les lettres défilées et les corrections apportées par l’auteur. Finalement, ça n’a aucun intérêt sinon de constater le niveau d’orthographe ou la qualité de frappe de votre correspondant.
Améliorer l’utilisation
Dans la mesure où le débat sur le community management m’intéresse, j’ai cherché quelques add-ons ou applications qui pourraient me rendre la vague plus agréable :
- Google Wave notifier : Cette petite appli vous prévient dés qu’un nouveau blip arrive dans la vague.
- Google Wave Add-on pour firefox : Même utilité que notifier mais sur firefox
- Waver : Une application desktop adobe air, donc légère à priori. Elle n’apporte rien de plus que la version sur le web. Peut être, un tout petit plus rapide.
- Waveboard : Même application que Waver mais sur Mac.
Et puis c’est tout. Pour ainsi dire aucune application qui mérite le nom de “client” comme c’est le cas pour twitter par exemple.
Conclusion
Google wave ne présente à mon sens et pour mon utilité aucun intérêt. Je vais toutefois resté en veille sur cet outil car je ne peux pas croire que google en reste là avec un tel produit survendu.
Il me reste quelques invitations. Si vous voulez tester, laisser votre mail dans les commentaires sous la forme machin(e) at truc.fr