Au point où notre golf semble stagner dans notre chère contrée, je pensais qu’un rapprochement avec nos voisins outre-atlantique serait profitable pour secouer notre mammouth golfique. Pourquoi le Québec ?
Déjà on n’a pas le frein de la langue anglaise. Non pas qu’aucun français parle la langue de Shakespeare mais on est tous passés entre 6 et 10 ans à apprendre sur le bout des…