Yes, mes only friends… Comme vous vous en êtes sûrement rendu compte sur le périphérique (ou sur n'importe quel axe routier ou transport en commun), c’est la fin des vacances. On les a attendus toute l’année, on a barré les jours au fur et à mesure sur le calendrier, compté les heures de travail qui restaient avant la serviette de plage, ça n’en finissaient pas. La dernière semaine s’est achevée, on a fait sa valise en vitesse, et enfin, on est parti.
En vacances, on a eu d’autres soucis, de la plus haute importance : quel maillot de bain mettre aujourd’hui ? Est-ce que l’eau sera aussi bonne qu’hier ? Est-ce qu’il reste de la crème dans le tube ? Tu m’échanges ton ELLE contre mon BIBA ?
Et pourtant, le temps de tremper ses orteils dans l’eau, le temps d’étendre sa serviette de plage sur le sable chaud, le temps d’étaler la crème solaire, d’aérer les robes légères, il est déjà temps de rentrer.
Et là, quand le réveil sonne et qu’il est grand temps de se lever, on réalise que les vacances sont bel et bien finies, et qu’il va falloir attendre l’année prochaine pour recommencer à avoir du sel dans les cheveux et du sable sur la peau.
Histoire d’enfoncer le clou, septembre, c’est demain. Tant qu’on est en août, ça fait encore illusion. Tant qu’on est en août, c’est encore les vacances, même si on a repris le travail. Mais septembre, c’est le début des « brrrr » et des glagla, c’est la saison des parapluies et des coupes vent. Septembre, c’est la rentrée, pour tout le monde. Et ça, c’est pas du tout la « vacances attitude ».
D’ici aux prochaines vacances, il y a 52 tirages de l’Euromillion que je compte ne pas rater, histoire de rentabiliser un peu plus ma serviette de plage…
Face à cette année de crise qui nous attend encore, face à la grippe A qui va nous faire passer un super hiver, je souhaite à tous les anciens vacanciers, très sincèrement et du fond du cœur, bon courage.