Magazine Poésie

le dernier jour

Par Plouf
plus un souffle, plus un cri,
la charmante demeure, qui jadis fut un nid,
est mort de sa mort, brutale, radicale,
un corps cramoisi à la peau aube pale!
si sur mon agenda il n'y a rien d'écrit,
c'est que dés ce jour arrivé fut la fin d'une vie!
tout un bonheur s'éclatait comme six pieds sous terre,
un enfant mort-né, un début de calvaire....

De femme et d'enfants car doucement s'estompent,
les blessures verbales et leurs mines ronflantes,
pour n'être jamais plus qu'un être fort et faible,
qu'on caillasse de coups et le sourire aux lèvres!

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