Il vient aujourd'hui de nous contacter pour faire un petit bilan de sa situation d'agitateur public passé au statut d'ennemi numéro 1 : « En septembre 2006, le blog Hirsute que je gérais a été arbitrairement fermé par la société Blogspirit, en septembre 2009, c'était au tour de mon Myspace (11500 contacts) d'être supprimé, j'ai eu à subir la suppression de 12 comptes Facebook. Aujourd'hui, la Police judiciaire envisage de porter plainte contre mes écrits sur mon blog "historique", menaçant de purement et simplement écraser près de 3000 billets rédigés en un peu plus de 3 ans. Des poursuites, même avec une victoire haut la main de ma part, me coûteraient la peau du cul et me mettrait sur la paille (sachant que j'y suis déjà). »
Le blog en question, vous pouvez le retrouver à cette adresse. Il dénonce des attaques « sur le terrain du détournement de la légalité », que l'on mènerait contre lui et tente de se défendre contre un (des ?) ennemi difficile à démasquer.
Vérol, c'est moi, mais c'est aussi un concept, un personnage, un vecteur, une ligne et de la création littéraire, artistique et parfois politique. Je n'ai jamais caché mes luttes antifafs, anti-FN, et anti-droite... Je n'ai jamais caché que je suis un insoumis, un nihiliste international en opposition radicale avec toutes les formes d'idées qui "sponsorisent" le racisme, la xénophobie, le rejet, la discrimination.... Et de l'accuser de propager sur son blog des propos racistes, qui conduiraient à la fermeture dudit blog. « Andy Vérol est un auteur aux écrits insoumis, certes, un bourrin, un pseudo-libertaire, un tendancieux, un crevard, un hirsute, un hurlant, un gueulard, un fou de l'ordurier, un déjanté du bulbe, un marteau du style, mais en aucun cas, et ce, depuis toujours, Andy Vérol n'a jamais tenu aucun propos raciste... » Ce ne serait donc que par souci « de me faire fermer ma gueule » que l'on recourrait à ces procédés « pathétiques », ajoute-t-il.
Nous avons contacté l'auteur pour en savoir un peu plus sur ces accusations. Parce que tout de même, Andy, tu m'as fait sourire plus d'une fois...