Musique (de circonstance) du dimanche

Allez avoir pourquoi j’ai cet air, vieux de plus d’un siècle (1859), dans la tête en ces temps de G 20 et de sommet de Copenhague ?  Voici un extrait du “Faust” de Ch. Gounod que j’entends toujours avec plaisir.

Je vous retranscris les paroles, prémonitoires, pas forcément toutes compréhensibles sur la séquence vidéo.

Le veau d’or est toujours debout;
On encense Sa puissance
D’un bout du monde à l’autre bout!
Pour fêter l’infâme idole,
Rois et peuples confondus,
Au bruit sombre des écus
Dansent une ronde folle
Autour de son piédestal!

Et Satan conduit le bal!

Le veau d’or est toujours debout;
Dans sa gloire dérisoire
Le monstre abject insulte aux cieux!
Il contemple, ô rage étrange!
A ses pieds le genre humain
Se ruant, le fer en main,
Dans le sang et dans la fange
Où brille l’ardent métal!

Et Satan conduit le bal!”

Bon dimanche malgré tout.

- Le dossier du Monde en question sur le Vénézuela d’H. Chavez.

- Après la lettre de Guy Moquet, le Lip dub UMP obligatoire dans les écoles ? Le Chasse-clou.

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