Le Monde, daté du 11 décembre 2009, sous la plume de Stéphane Foucart et Hervé Morin (ici), nous apprend que le dernier
numéro de décembre du Journal du CNRS (ici) devait être consacré au "réchauffement".
Ce dossier devait comporter en première partie des exposés de climatologues. En seconde partie parole devait être donnée à deux géophysiciens, de l' Institut de physique du globe de
Paris (ici), Vincent Courtillot [photo en provenance de l'Académie des Sciences ici] et Jean-Louis Le Mouël.
Les premiers devaient - c'est maintenant du réchauffé - ressasser la thèse, devenue religion officielle, du réchauffement climatique global d'origine humaine, tandis que les
seconds auraient pu développer, pour une fois, leur thèse d' "une cause solaire au réchauffement", dont les grands médias se gardent bien
de vous parler...parce qu'elle est la plus plausible.
Les climatologues se sont mis en colère contre cette promiscuité. Résultat : ils ont obtenu gain de cause. Leurs articles, qui trouvent un large écho dans les médias, jusqu'à devenir l'unique
thèse, laïque et obligatoire, ne seront pas publiés. Ce n'est donc pas une perte pour eux. Mais les articles des seconds ne seront pas publiés, alors que leur thèse est toujours maintenue sous
le boisseau.
Le Monde, champion de la désinformation, considère que les "climatologues" et les "climato-sceptiques" ont
été renvoyés dos à dos...
A la réflexion n'est-ce pas plutôt un hommage que de mettre sur le même pied les deux thèses opposées? Sauf que la première a droit d'être citée partout ailleurs et l'autre pas.
Francis Richard
Le CNRS a censuré Vincent Courtillot. Sur ce blog les internautes peuvent le voir présenter son dernier livre :
Nous en sommes au
511e jour de privation de liberté pour Max Göldi et Rachid Hamdani (de droite à gauche), les deux otages suisses
en Libye