Une piscine qui prend l'eau... la dernière contribution de Luc Degeorges, tirée du "Perroquet libéré".
Inaugurée depuis à peine plus d'un an, la piscine flottante Joséphine Baker, accumule les galères.
Après les carreaux défectueux au fond du bassin qui avaient failli compromettre sa mise en service et l'incendie qui a conduit à mettre à la porte la société qui assurait l'exploitation du site, la piscine Joséphine Baker est passée à deux doigts du naufrage.
Vendredi matin, une partie des flotteurs de la piscine maudite s'est remplie à cause d'une voie d'eau dont l'origine n'a pas été précisée. De quoi faire pencher dangereusement cette structure de 5.600 tonnes installée à proximité de la Bibliothèque François Mitterrand.
Un important dispositif de secours a rapidement été dépêché sur place : police, camions de pompiers, plongeurs, agents de sécurité de la Ville de Paris, bientôt rejoints par des pompes et une grue fournies par des opérateurs privés. La tension était palpable.
De l'autre côté de la Seine, amarrée