Un tel cas est à étudier dans les anales de l’analyse politique :
- les électeurs n’ont pas de mémoire
- ils sont idiots, cons, ou racistes (rayer la mention inutile)
- ils plébiscitent les tribuns sans discernement
- Le Ps n’a pas fait son boulot correctement
Pour ma part, j’en veux surtout au manque de courage des instances nationales, qui n’ont pas assez de couilles pour barrer le chemin à ce personnage odieux pour qui les harkis sont des « sous-hommes », entre autres provocations et paroles imbéciles… Il y a donc plus de place dans mon catalogue politique personnel, paradoxalement et au risque de froisser mes lecteurs, pour un cacique du modem ou de centre droit démocrate, que pour ce genre d’individus qui froissent ma conception de l’identité nationale.
Et ce ne sont pas les projets tape à l’œil dont on soupçonne un zeste de mégalomanie (en tous les cas de disproportion) de cet individu louche qui me feront taire sur le caractère immoral de cette candidature régionale en Languedoc-Roussillon.
Pour moi, la chose est entendue, à étudier sa biographie, Frêche est tristement proche de Le Pen, et il faut continuer de le dire et l’écrire. N’en déplaise à Ségolène.
Et comme Luc, trois ans après, je le crie haut et fort : Frêche, dehors !
Post-scriptum : ce soir, treize heures exactement après avoir écrit ce billet, je suis tombé sur ceci… Pas mécontent du tout, le GdeC ! Et vive la Résistance !