L’abrupt des consciences
tout le jeu des atomes
les yeux du pain
ceux de la pierre face au silence
l’étreinte des mains de chair et d’os
les aréoles de seins
d’une fille qui s’isole au bord de la mer
la terre les porte.
(Jean Follain)
L’abrupt des consciences
tout le jeu des atomes
les yeux du pain
ceux de la pierre face au silence
l’étreinte des mains de chair et d’os
les aréoles de seins
d’une fille qui s’isole au bord de la mer
la terre les porte.
(Jean Follain)