J’ai fêté il y a deux jours mes trois mois sans cigarette.
Et quelle liberté ! Je réalise maintenant que ma vie était conditionnée par le tabac. Plus besoin de retourner la maison à minuit, parce que j’ai du feu mais… rien à allumer (ou l’inverse). Je commence à avoir la “non-fumeur attitude” à savoir, lorsque je suis dans des lieux enfumés, à penser que mes cheveux et vêtements vont empester le tabac froid. Après une soirée en compagnie de fumeurs, je ressens une gêne dans la poitrine. Bref, je me sens libérée !
Je vous laisse pour aller faire mes longueurs, car c’est pas tout ça, mais quand on arrête de fumer, il faut bouger sous peine de devenir une grosse patate !