Par le monde on voit
chambres rouges
avenues à flambeaux
femmes aux orteils posés
sur des terres chaudes
invitations à mourir
faites la nuit comme le jour
parfois près de l’usine atomique
des glaneuses penchées jusqu’au soir.
(Jean Follain)
Par le monde on voit
chambres rouges
avenues à flambeaux
femmes aux orteils posés
sur des terres chaudes
invitations à mourir
faites la nuit comme le jour
parfois près de l’usine atomique
des glaneuses penchées jusqu’au soir.
(Jean Follain)