Ce colloque a attiré des chercheurs spécialistes venus majoritairement de l'Europe de 27 (71 personnes) mais aussi d'autres pays européens (8) et d'Amérique du Nord (7 personnes). Le pays le mieux représenté, a part la France, a été l'Allemagne avec la présence de 10 chercheurs.
La séance d'ouverture a réuni des représentants de l'UNESCO, la Commission Européenne, le Conseil d'Ile-de-France. Monsieur Alain Bravo, vice-président de la CDEFI, directeur général de Supélec, a souhaité la bienvenue aux participants au nom de la CDEFI.
Les travaux se sont déroulés en anglais, français et allemand. Une traduction simultanée dans ces trois langues a facilité les échanges.
La séance du jeudi 26 a été introduite par deux conférencières invitées : Géneviève Fraisse, philosophe, ancien ministre, ancien député européenne, directrice des recherches au CNRS et Dominique Méda, sociologue bien commue par ses travaux sur le temps de travail, directrice de recherches au Centre d'Etudes de l'Emploi.
Le vendredi 27, deux autres conférencières invitées ont éclairé les travaux : Susan Himmelweit, professeur d'Economie à l'Open University, Royaume Uni et Ariane Hegewisch, de l'Institut de Recherches sur les Politiques sur les femmes de Washington, Etats-Unis.
Des personnalités telles que Peter Auer, du BIT à Génève, Nicky Le Feuvre, professeur à l'Université de Lausanne, Jeff Hearn, de la Hanken School of Economics de Helsinki, Paola Villa, professeur d'économie à l'Université de Trente en Italie et Françoise Milewski de l'OFCE-Sciences Po de Paris, ont présidé les sessions.
Le colloque s'est terminé par une table ronde réunissant des universitaires, des représentants des entreprises et de syndicats.
Paul Jacquet, président de la CDEFI, s'est exprimé dans les colonnes de Research Review, le supplément de Parliament Magazine, sur l'importance d'un tel évènement. Cet article est consultable en suivant ce lien.