Encore vague, la plate forme commune africaine constitue une vision partagée qui tend à fixer un objectif, à savoir un plafond au delà-duquel les pays développés ne doivent pas aller en terme de pollution. Cette initiative prône une reforme du financement des mécanismes de développement propre qui donne aux pays pollueurs la possibilité de compenser leur émission de GES en investissant dans des projets propres.
Car la vulnérabilité aux changements climatiques est la plus visible par la desertification,l’élevation du niveau de la mer, la rédustion de la disponibilité de l’eau douce,l’érosion cotière, la déforestation ainsi que la degradation de la qualité forestiere et la perte de qualité de celles ci, sans oublier les conséquences sur la sécurité alimentaire.
Pour l’Afrique désormais les choses sont claires: les pollueurs doivent payer, même s’il est nécessaires de quitter les négociations qui ne seront qu’un nouveau viol du continent.