La musique parle mieux que les mots pour ressentir des moments de beauté tels que ceux là (imaginez un air frais, une piste cyclable déserte, la présence de la mer calme et tranquille, une route où les voitures passent, préssées d'arriver à leur destination et ne regardant rien sur leur chemin, et la musique qui emplit les oreilles et l'esprit).
Place aux deux Elegies pour violoncelle et piano de ce cher et inégable Franz Liszt ...
(Juste quelques mots ici, si vous me permettez de rompre le voyage musical : cet ange qui semble surgit de nulle part, armé de sa brillante croix orthodoxe, surmonte le moment Russalka, construit en 1902 à la mémoire des 177 marins disparus en 1893 dans le naufrage du navire de guerre russe "Russalka", parti de Tallinn et jamais arrivé sur les cotes finlandaises. Je n'ai pas réussi à trouver la réponse au pourquoi ce bateau avait été nommé ainsi, mais je pense qu'il doit y avoir un rapport avec la rusalka, créature des eaux de la mythologie slave -thème au passage de l'opéra éponyme de Dvorak, rempli de belles mélodies traditionelles tchèques. A confirmer).
Bonne semaine !