“Ce tapis que nous tissons comme
le ver dans son linceul
Dont on ne voit que l’envers seul
C’est le destin de l’homme.
Mais peut-être qu’à d’autres yeux,
L’autre côté déploie
Le rêve, et les fleurs, et la joie
D’un dessin merveilleux.”
Tel Fô, que l’or noir des tisanes
Enivre, ou bien ses vers,
Chante, et s’en va tout de travers
Entre deux courtisanes.
(Paul-Jean Toulet)