LES GENS ÂGÉS
Les gens âgés écoutent la radio, mais on ne joue jamais des chansons pour eux, ce n'est pas payant... On leur vend des calmants, des pilules des onguents. Mais ce n'est que de l'amour dont ils ont besoin comme médicaments...
Les gens âgés ont les a oubliés tout au fond des foyers ou les gouvernements les ont enfermés... Ils ont tout donné, leur amour, leur santé. Tout ça pour les enfants, ils ont tout sacrifiés, même les rêves les plus grands...
Une seule fois tous les ans on viendra les visiter, une seule fois tous les ans on viendra les embrasser, ça oblige le jour de l'an. On est tous des vieux, qu'on le veuille ou non, on sera un jour comme eux, même riches à millions...
On est tous des vieux, ce n'est qu'une question de temps, heureux ou malheureux d'avoir eux des enfants... Les gens âgés ne parlent plus, ils ont trop à dire, une vie à raconter. Qui va les écouter ?
Les gens âgés se courbent le dos, et regardent leurs pieds, se demandent pourquoi au bout du chemin, ils sont arrivés. Ils ont tout donné, leur amour, leur santé...
Et au fond de leurs foyers, ils relèvent parfois le front, quand vient la fin du mois, pour signer le chèque de leur pension qu'on fait semblant de leur donner...
Les gens âgés ont le goût de pleurer, car ils ont le temps de renaître au passé, revivre leurs 20 ans... Ils n'ont rien oublié. Si leurs dos a courbé, c'est qu'ils ont trop souvent porté les chagrins et les peines de ceux qu'ils ont aimés...
Ils demandent au Bon Dieu de parfois penser à eux. S'il a une minute ou deux à leur consacrer. Ils
demandent au Bon Dieu pourquoi il a oublié de venir fermer leur
yeux...
(-Paroles de : André Sylvain Québec - Canada)
RÉFLEXION :
Ce monde est plus avide d'amour et d'affection que de pain. (-Mere Teresa)
50 000 $ POUR UN CHIEN !
Un petit garçon avait depuis longtemps un beau gros chien qu'il aimait beaucoup. Un beau matin, il s'est levé en disant aux autres membres de la famille: « aujourd'hui, je vends mon chien ! » Le père a pensé que c'était loin d'être sérieux et il parti travailler.
Il fut surpris de constater en revenant dîner que son fils avait placé une affiche en face de la maison. « Chien à vendre 50 000 $ ». Le père tenta une fois de plus d'amener son fils à changer d'idée, mais peine perdue. En arrivant pour souper, le papa vit que l'affiche était disparue, il s'empressa de féliciter son garçon pour avoir changé d'idée. Celui-ci répondit: - Je n'ai pas changé d'idée, je l'ai vendu ! - au petit garçon d'en face !
- Mais à quel prix ?
- 50 000 $
- Il t'a payé ?
- Comment il n'avait pas assez d'argent, il m'a donné en échange deux chats de 25 000 $ chacun. »
Cette histoire nous montre que la valeur est relative et subjective. Et dans notre monde d'aujourd'hui, nous croyons que la plupart des problèmes seraient résolus si nous avions plus d'argent. Alors pourquoi ne pas produire plus de chats à 25 000 $ ?
L'expérience nous montre que le principal capital d'une personne ou d'une nation, c'est sa capacité d'imaginer un produit ou un service de bonne qualité, de le fournir en quantité suffisante, de travailler avec efficacité, tout en découvrant sa valeur humaine et ses qualités de tête et de coeur. (-Texte tiré du livre de Jean - Guy Leboeuf, « Grains de sagesse » page 212, Les Éditions Un monde différent Ltée 1992 )
RÉFLEXION:
Source http://membres.lycos.fr/renatparadis/