Réchauffement Climatique : Enjeux, manipulations et contre-vérités

Publié le 05 décembre 2009 par Blackrabbit

Difficile d'aborder ce sujet abondamment discuté, qui suscite des passions affolantes, et d'y apporter un éclairage intéressant sans fâcher les personnes, comme on a pu le voir récemment dans l'émission On ne peut pas plaire à tout le monde où tout fut tendu, entre M Zeymour et les invités, qui au final ne parlaient pas du tout de la même chose, ce qui est bien là le vrai fond du problème.

Parallèle intéressant : il y a trois ans le consensus parmi les économistes était qu'il ne pouvait pas y avoir de crise économique majeure. Dans un débat télévisé en 2006, Peter Schiff expliquait que l'encouragement politique de l'endettement des Américains constituait un château de cartes qui allait s'écrouler avec la remontée des taux d'intérêt : la prospérité américaine des années 2000 était en grande partie une illusion fondée sur une hausse des prix bullaires. Face à lui, l'économiste de renom Arthur Laffer ridiculisait son contradicteur, hérétique et minoritaire. Et pourtant Peter Schiff, comme quelques autres tels Nouriel Roubini, avait raison contre l'immense majorité. Emmanuel Martin

Pour commencer je pense que le bien c'est bien. Maintenant qu'on a passé les poncifs de la pensée bien pensante essayons d'avancer sur le sujet. Je vous prierai de bien lire l'article jusqu'au bout si vous entreprenez sa lecture. Le but n'est d'agresser personne mais de susciter de saines interrogations et d'essayer de recentrer les divers débats et enseignements du Climat Gate.

Cela pourrait se résumer ainsi :

1- qu'est-ce que le climat, réalité enjeux dangers/bénéfices du réchauffement climatique, véracité ou non du réchauffement, différencié (pas uniforme) ou global, provoqué par l'homme ou non, théorisé scientifiquement ou débat encore ouvert (la théorie ne coïncide pas encore avec la réalité)
2- un monde meilleur : les enjeux aujourd'hui : éducation, alimentaire, l'eau, empreinte environnementale, réduction énergétique grise, nouvelles structures internationales, Bretton Woods3, économique vs/avec environnemental, natalité, enjeux politiques, sociétaux et éthiques selon les nations : pays riches, BRIC, non alignés, tiers monde... sacrifices aujourd'hui pour le monde de demain ?
3- climatgate et manipulation : les sciences au XXIème siècle : indépendance et financement, la pensée scientifique, l'esprit critique à l'ère du consensus et de la politisation.
4- la machine à consentement : comment lesmass media nous conditionnent à accepter le monde d'une certaine manière, les apports de la psychologie cognitive : fascination pour la théorie du complot et l'alarmisme. Culture de la peur et mauvais débats.

(cliquer pour lire la suite)

Le Culte de la peur, pas si récent que cela...

Le demi-siècle passé nous a habitué à des menaces planétaires en tous genres. A la fin des années soixante, par exemple, le cauchemar malthusien refit son apparition lorsqu'il fut décrété qu'une explosion démographique irrépressible nous acheminait inexorablement vers une famine massive et globale dans un avenir tout proche. Un peu plus tard le Club de Rome, appuyé par un grand nombre de scientifiques et d'autres spécialistes, nous a averti de l'épuisement rapide des ressources naturelles et d'un arrêt de la croissance économique mondiale, de notre vivant. Puis, du début jusqu'au milieu des années soixante-dix, quand la température planétaire, montante la plupart du temps depuis ce qu'on appelait le " petit âge glaciaire " (il y a environ 400 ans), se mit à redescendre, nombre d'éminents scientifiques nous avertirent que nous nous apprêtions à faire face au désastre d'un nouvel âge de glace.La dernière peut en date, le réchauffement planétaire a suscité (...) des réactions sans précédents. (...) Probablement est-ce dû, en particulier dans les pays riches en tout cas, à une prise de conscience justifiée des questions environnementales. Mais ce n'est pas une excuse pour perdre la raison. Il est temps de réfléchir au réchauffement en gardant son sang froid" . Introduction du livre de Nigel Lawson, Un appel à la raison, gardons notre sang froid face au réchauffement climatique.

Le problème vient que lorsque l'on parle de " Réchauffement Climatique " : il est sous entendu " lié à l'activité humaine ". C'est à dire, c'est vous qui contribuez au réchauffement climatique à cause de l'émission de CO2 qui provient de 'énergie pour vous déplacer, chauffer, manger, enfin bref : vivre. La problématique est en fait complexe et certains médias ont relayé le gloubiboulga de think tank, ou en plus en Réchauffement Climatique lié à l'activité humaine, il faut comprendre que si c'est le bordel (à tous niveaux) sur notre planète c'est à cause de vous en tant qu'individu et vous pouvez y changer quelque chose. Bien entendu en fait le réchauffement climatique d'une part et l'Etat du monde (économiquement, socialement et d'un point de vue durable, biosphère, environnementalement) sont deux sujets dissociés, et reporter sur l'individu des problématique mondiales qui nécessitent une coordination entre les Etats, les institutions internationales, les multinationales, sans oublier d'inclure des problématiques éthiques, sociétales et politiques, en plus de celles économiques et environnementales me parait mensonger.

Premièrement pour enlever toute ambiguïté, je suis un utopiste, je suis depuis de nombreuses années dans le milieu associatif et le bénévolat, je ne pense pas être un naïf, et je souhaite réellement un monde meilleur pour tous. Pour se faire j'essaye de faire le bien à mon niveau, d'appliquer un certain code de conduite, comprendre le monde grâce au travail de grands esprits de notre époque puis de partager cette connaissance, contribuer à la diffuser. Pour finir j'ai reçu une formation scientifique, et pour moi ce qui est important est l'esprit scientifique, je m'explique on peut être un simple citoyen, un journaliste, un penseur et avoir l'esprit scientifique, c'est cela qui est important, et on peut être un " scientifique " et ne pas l'avoir, malheureusement cela est très courant, et l'on aperçoit des pseudo scientifiques faire de la politique aujourd'hui et refuser tout débat...

Le problème c'est que le monde est devenu complexe, et qu'on ne peut pas marketer des choses complexes, il est illusoire de croire que les projets sont abordés dans leur complexité dans les mass media... On ne fait des slogans que de choses simples, qui ne veulent au final rien dire et sur lesquelles à priori tout le monde est plutôt d'accord. En simplifiant le monde on arrive parfois à soutenir des positions contraire à ce que l'on souhaite réellement à la base. Si on rajoute à cela ce que M Chomsky appelle la machine à consentement, les médias vous conditionne à accepter certaines visions et donc choix, et oui depuis la seconde guerre mondiale la psychologie cognitive, la sociologie comportementale etc... ont fait d'énormes progrès. On comprend même mieux comment fonctionne le cerveau et comment notre nature a une fâcheuse tendance à aimer les informations faibles, ce qui induit une fascination pour les coïncidences qui prennent une dimension mystique. On sait que les théories du complot exercent une fascination, et que l'alarmisme attire l'attention...

Dans les années 70 un certain nombre de prophètes expliquèrent que nous allions tous mourir de froid à cause de l'émission de carbone lié à l'activité humaine dans l'atmosphère. Aujourd'hui les mêmes et leurs fils spirituels et des nouveaux nous expliquent que nous allons tous mourir de chaud à cause du carbone dans l'atmosphère.

Vous en avez tous la preuve car on nous dit à longueur de temps que le climat est déréglé, et un politique nommé Al Gore a eu un prix Nobel avec un organisme, L'IPCC (GIEC en français) pour son film sur le réchauffement climatique. On nous a expliqué l'histoire de la crosse de Hockey, un réchauffement continu, et en plus on le sait tous, toutes les glaces fondent.
Le problème c'est que cela est faux, je m'en remets au verdict d'un tribunal de justice londonien :

Le Juge Burton de la Haute Cour de Londres a rendu un verdict sans appel contre le film " la vérité qui dérange " d'Al Gore, confirmant qu'il contenait " 9 erreurs scientifiques ", faites " dans un contexte d'alarmisme et d'exagération ". Avec la vérité qui dérange, " la science est utilisée par un homme politique et un communicateur de talent pour faire une déclaration politique et soutenir un programme politique ", a-t-il expliqué. Ce délibéré faisait suite à une plainte d'un père de famille contre la diffusion dans les écoles de cette production hollywoodienne, l'accusant de " faire subir un lavage de cerveau " aux enfants avec de " graves inexactitudes scientifiques " de la " propagande politique " et de la " bouillie sentimentale ".

Pour compléter, tout le monde connait le Groenland, le nom vient des Vikings qui vécurent dans cette terre verte pendant des siècles au moyen-âge à une époque où il faisait beaucoup plus chaud que maintenant, et où il y avait peu de rejet de CO2 lié à l'activité humaine en comparaison. D'autre part n'en déplaisent aux alarmistes la réalité est beaucoup plus complexe, et les effets des changements climatiques sont très disparates, si cela fond par endroit dans d'autres endroits cela glace (mais il est plus facile de voir 1/5 ème d'une zone fondre que les 4/5ème s'épaissir par exemple... ou d'expliquer que l'eau disparait dans un pays, alors qu'un barrage a été construit en amont dans un autre), en outre certains exemples bien vendeurs pour les médias comme le Kilimandjaro entraînent beaucoup de débat dans la communauté scientifique sur la cause de son évolution qui est bien plus complexe. Déjà il aurait fallu de quoi on parle, car la terre est vaste et son fonctionnement complexe et pas forcément homogène, en plus en climatologie l'échelle de temps est 30 ans et notre mémoire parfois courte...dernier point, remonté depuis de nombreuses années et qui semble enfin faire consensus : la température est principalement liée à l'activité solaire (et cela impacte en fait toutes les planètes du système solaire) : cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'impact lié aux gaz à effet de serre mais que ceux-ci sont moins importants, et en plus le carbone n'est pas le gaz à effet de serre le plus important, aujourd'hui cette position semble largement faire son coming out dans la communauté scientifique.

Sur ce sujet je vous invite à lire l'intervention de MM Courtillot et Le Mouel, qui ont contribué au rapport de l'académie des sciences. Dommage que ce rapport soit la démonstration de ce que je disais en introduction, on y croise des scientifiques et des personnes qui font de la politique, cela montre en tout cas que les domaines concernés sont vastes et qu'aujourd'hui nous sommes loin d'avoir une théorie confortée par la réalité, et qu'heureusement nous avons encore de vrais chercheurs engagés dans une recherche de compréhension sincère et non idéologique... J'ai partagé le document ici.

Définition " Le climat est en général défini comme la moyenne de la météorologie sur environ trente ans. Il est caractérisé par de nombreux paramètres observables : température, pression, précipitations, vents, nébulosité, insolation,... Le paramètre le plus couramment observé et représenté est la température. Il n'est pas si simple de mesurer la température moyenne globale de la basse atmosphère ni de s'assurer qu'elle a bien une signification thermodynamique

Conclusion : Deux articles récents révisent à la baisse la sensibilité de l'atmosphère au CO2 (Lindzen et Choi, 2009) et les variations de l'irradiance solaire à long terme à la hausse (Scafetta et Willson, 2009) au point de peut-être inverser leurs contributions respectives. Enfin, une ré-analyse des anneaux d'accroissement des arbres (Grudd et al, 2008) confirme que la célèbre courbe en crosse de hockey de Mann est fausse (à cause notamment d'un biais lié à l'épaisseur de ces anneaux en fonction de l'âge de l'arbre) et que les températures actuelles et le réchauffement climatique des 150 dernières années ne sont ni exceptionnels ni exceptionnellement rapides. Quatre ou cinq fois depuis 1500 ans la température moyenne a été aussi élevée, et pendant deux siècles autour de l'an mille nettement plus élevée: on produisait du vin à Londres et les Vikings occupaient un Groënland vert... "

Au final ce qui est choquant est la violence inouïe entourant ce sujet depuis des années. Nombre de carrières de scientifiques ont été brisées, une chape dogmatique s'est posée et toute personne qui ose émettre des doutes et demande un débat est rejeté, et traité de négationniste de l'holocauste, de raciste...et oui car le réchauffement climatique est une réalité tout le monde le sait, tous les médias le disent, et d'ailleurs 2500 scientifiques de l'IPCC le disent sauf que...

" Il ne s'agit pas de 2.500 spécialistes qui seraient arrivés à un consensus. Je le sais, j'y ai participé. Tout auteur écrit une ou deux pages en association avec quelqu'un d'autre. Ils voyagent dans le monde entier plusieurs fois par an, pendant plusieurs années, pour écrire leur papier. Les conclusions transmises aux politiques ont été rédigées par environ 13 scientifiques, mais, au bout du compte, le document final a été rédigé par les représentants des gouvernements, des organisations environnementales et des groupements industriels, chacun d'entre eux recherchant son propre intérêt. " (Dr Richard Lindzen, Professeur de Science Atmosphérique au MIT, à propos du rapport de l'IPCC).

Des scientifiques ont eu le courage de quitter l'IPCC accusant la manipulation politique de cet organisme... dans le plus parfait silence médiatique... l'IPCC refuse tout débat avec les personnes qui remettent en cause leur théorie, et désormais on a tellement été bien conditionné, qu'émettre des doutes revient à être républicain américain, néo-nazi, employé par des compagnies pétrolières qui ont influé votre jugement pour permettre de polluer impunément dans le monde etc...

Dédiabolisons le CO2

Faire passer le CO2 pour un agent nocif est totalement absurde. D'une part comme nous l'avons vu les Gaz à effet de serre n'arrivent pas en première position des causes du réchauffement et surtout le Carbone lui même arrive loin derrière la vapeur d'eau. Les gaz à effet de serre contribuent à la vie sur terre, il ne faut pas l'oublier. D'autre part on oublie souvent de le préciser, mais plus il y a de carbone, plus cela facilite la croissance des plantes, on parle de l'effet fertilisant du CO2.

Les sujets sont tous devenus complexes aujourd'hui et les raccourcis permettent des manipulations. Nous avons la même chose avec les énergies nouvelles, que l'on veut confondre avec énergie propre...

Idéologie quand tu nous tiens...

Si au XXème siècle nous avons connu trois régimes totalitaires dangereux pour l'homme (nazis, communistes, républiques fondamentalistes islamiques) le XXIème siècle a vu l'émergence d'un nouveau genre, les éco-extrémistes que certains appellent les nazis vert comme le Dr. Erik Pianka qui appelle à l'éradication d'une grande partie de l'espèce humaine pour sauver la planète... c'est du délire !

Le scientifique Dyson a très bien compris le fond du problème et les enjeux, vous pouvez consulter cet article du Courrier International :

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La raison pour laquelle je voulais nommer ce présent article dilemme il y a des mois de cela, est qu'au final sur le fond que l'on parle environnement je trouvais cela bien, mais que cela soit amené d'une manière détournée et bâti sur des mensonges et manipulations de masse m'a franchement inquiété. Et lorsque l'on gratte effectivement le sujet n'est pas reluisant...

Dyson résume les deux positions que l'on peut avoir sur le sujet : soit vous considérez que l'humanité ne fait pas partie de la nature et que toute perturbation humaine à l'équilibre écologique est un crime, et que la nature n'est pas capable de s'adapter... et dans ce cas là vous êtes au premier barreau de l'échelle des nazis verts.

Soit vous êtes humaniste, et vous faites partie des personnes qui pensent que l'être humain fait parti de la nature et que la protection de la biosphère est moins importante que la lutte contre les fléaux tel que guerre, famine, pauvreté, chomage... (cela n'empêche d'ailleurs pas que dans certains cas les deux soient reliés et qu'en améliorant l'un vous améliorez l'autre)

Il faudrait presque mettre cela sous la lumière de Retour au Meilleur des Mondes qui expliquait assez froidement il y a 50 ans où le monde allait et pourquoi il y irait et qui au final ne s'y est pas trop trompé. Le vrai problème étant l'accroissement de la taille de la population humaine qui a augmenté les besoins primaires un peu partout, et l'augmentation de la consommation des ressources, qui résulte de la technologie médicale entre autre qui a permis à tout un tas de pays de ne plus voir son taux de mortalité infantile très élevé, mais cette sortie du moyen âge ne s'est pas accompagné d'un changement de mentalités... Ce que Dick décrivait dans Le Maître du Haut Chateau n'est bien entendu pas arrivé, personne n'a profité du lendemain de la seconde guerre mondiale pour construire un monde meilleur, et sortir du moyen âge... le vrai sujet tabou qu'il y a derrière tout cela, même si on partait du principe que tout est vrai, est le nombre d'êtres humains sur terre, il aurait été intéressant d'avoir l'opinion de Levi Strauss s'il était encore là (visiblement il a été clair dans une interview que je n'ai pas vu sur le sujet)...

Conclusion :

Pour avoir un autre point de vue sur le sujet je vous invite à lire le livre de Nigel Lawson Un Appel A La Raison ; Gardons Notre Sang-Froid Face Au Rechauffement Climatique qui aborde le problème de manière originale sous les angles : scientifique bien entendu mais également de manière politique, économique, éthique... c'est très rafraichissant car cela apporte une réflexion sous d'autres angles, et soulève les problèmes d'aujourd'hui et demain, en tentant d'apporter de vraies réponses là où le film catastrophe des éco-extrémistes n'est qu'un message stérile. J'espère que tout un chacun prendra le temps d'essayer de comprendre les réelles implications (ce n'est pas évident car tout le monde markete bien son produit et que tout n'est pas défini), les réels enjeux, car rester sur une approche superficielle ne sert à rien. J'espère que certains clivages seront dépassés, pour éviter de voir des foires d'empoigne sur des sujets où probablement tout le monde serait d'accord. Il est vrai qu'en France le débat n'est pas facile, avec les mass média qui continuent de diffuser le même message de conditionnement et nos champions de l'écologie nationaux qui ne sont probablement pas les bonnes personnes...

Même si tout cela était vrai, y-a-t-il des études qui comparent bénéfices et inconvénients de l'augmentation du carbone et de la température (seuls les inconvénients étant regardés aujourd'hui). D'un point de vue éthique, il nous est expliqué que nos générations futures seront plus riches que nous, est-il éthique de demander des sacrifices aux générations actuelles pour des générations qui seront plus riches ? Quelles règlent allons-nous appliquer entre les puissances montantes (les pays de la BRIC) et les économies occidentales établies ? n'est-il pas injuste d'appliquer des contraintes maintenant que nous avons délocaliser nos entreprises polluantes dans les pays émergeants, maintenant où nous avons plus d'un siècle pour faire évoluer nos sources d'énergie, par rapport à des nations qui entrent seulement dans la valse et qui doivent en priorité assurer leur stabilité économique ? et allons-nous prendre en compte les problématiques de natalité dans les débats ? La Chine avait mis en avant sa politique de restriction des naissance dans le débat, et qu'elle avait donc diminué ses émissions de carbone : la Chine a parfaitement raison mais c'est un débat que ne voulait pas entendre nombre de pays riches.

Nous sommes donc en présence (1) d'un débat scientifique réel non clos sur le réchauffement ; (2) de fraude scientifique de la part de climato-alarmistes du GIEC, de premier plan et contrôlant les données (3) d'une théorie du GIEC qui n'est pas confirmée par les observations. La raison porte à conclure qu'il est trop tôt pour prendre, au niveau national et international, des mesures fondées sur un soit-disant consensus scientifique, qui détournent des ressources de problèmes écologiques réels et auront des conséquences développementales considérables. Laissons faire la science. Emmanuel Martin

Il ne faut pas confondre le débat du changement climatique avec le débat sur la responsabilité, la prise de conscience de notre environnement. C'est très sain que nombre de personnes soient passionnées, peut-être assistons-nous là à l'émergence d'une nouvelle utopie. Par contre l'histoire du réchauffement climatique est très grave : il s'agit de manipulation au niveau international, où l'on a une fois de plus stigmatisé et terrorisé les personnes. Cela évite de penser aux véritable problèmes d'aujourd'hui, visiblement une crise financière transformé en crise économique n'a pas suffi... il y a une idéologie derrière tous ces discours, et cela relève de la foi. Tout hérétique sera brûlé sur le bucher, on a pu le voir... ( douce époque où on ne cesse de nous parler de la seconde Guerre Mondiale et qu'il ne faut jamais que cela se reproduise mais quand certaines dictatures exterminent une partie de leur population, on détourne le regard... )

Au début du XXIème siècle, on aurait pu espérer réellement souhaiter un monde meilleur, surtout que nous comprenons mieux le monde, comment il fonctionne, et que nous avons les moyens technologiques d'améliorer beaucoup de problèmes. Mais comme souvent certaines personnes voient le pouvoir qu'elles ont en jouant les nostradamus, certains voient des intérêts financiers (mitigation du carbone), d'autres y voit une carrière politique, certains pensent que l'Histoire se souviendra d'eux grâce à cela, d'autres sont de sombres idéologues qui espèrent manipuler tout le monde et passer à l'étape d'après de leur vision du monde quand les esprits seront prêts...

Maintenant, oublions ce sujet, car nombre de ceux qui ont voulu y croire s'y sont rattachés par la foi en un monde meilleur. Un monde meilleur passe par l'éducation, pour éviter justement qu'on assiste à des manipulations de masse, pour éviter que lorsque les civilisations s'effondrent de sombres desseins prennent le pas, et que que la démocratie soit enterrée sous un déluge d'applaudissement.

Le monde est complexe, et avec l'information en continu, on reçoit en permanence des faits divers, et les positions n'osent plus s'exprimer, nous sommes sous un dictat du bien pensant, contrebalancer par les théoriciens du complot. Le fait est que rien n'est ni blanc ni noir. Comme le sociologue Breton l'a expliqué dans son livre l'Utopie de la Communication, il nous faut probablement une nouvelle utopie, qui sera le moteur et le cap qui manque à notre société. Des fois on a l'impression d'être dans un bateau Shadock, on ne sait pas où on va mais on se dépêche d'y aller...

Les Néo Darwinistes comme Bloom, ont expliqué dans leurs ouvrages comment fonctionnait les sociétés humaines, les mécanismes internes, les forces cachées qui nous manipulent (les mèmes, notre cerveau de mammifère...). Des hommes qui ont côtoyé les puissants ont expliqué dans des livres (comme par exemple La caste) comment marchait le pouvoir au niveau international, et les enjeux qu'il y avait aujourd'hui, à l'heure où le plupart des organismes existants ont été fondées au lendemain de la seconde Guerre Mondiale et ont perdu leur vocation première et où les Multi-nationales ont plus de puissance que certains Etats, qui pour le coup ont un coup de retard, comme on a pu le voir avec la crise, il manque sacrément d'un outil de régulation et de directives...

Il y a eu beaucoup d'agitations ces dernières années avec des conférences internationales débouchant sur des protocoles. Tout ceci a détourné en général des vrais enjeux. Certains pays qui 'étaient pas signataires sont aujourd'hui dotés d'un programme bien plus ambitieux et réaliste que ceux qui ont pu signé. Il est important de ne pas se laisser abuser par les faux débats, où par le creux qui découle des consensus... il faut décider de là où on veut aller, puis de déterminer un programme rationnel et économiquement viable avec des organismes de coordination, de soutien et de contrôle pour y parvenir.

Alors aujourd'hui il ne faut pas être si négatif, beaucoup de choses se passent, mais c'est souvent fait de manière informelle, par des ONG, par des milliardaires qui financent ces ONG, par des groupes de lobby, par des institutions qui pallient au manque de certaines structure, mais moralité, personne n'est élu, rien n'est coordonné. Il y a un immense travail à faire sur le sujet. Et pourtant on avance. L'industrie informatique regroupé au GeSi a créé le programme Smart 2020 aux USA, qui a analysé la situation et ce qu'on pouvait faire et comment y aller, pour préparer un avenir meilleur. Les entreprises de la papeterie en Europe se sont coordonnées et ont un plan de développement soutenable, avec une labellisation des forets (gestion éco responsable)...

La Global e-Sustainability Initiative (GeSI) a été crée par un groupe de technologies de l'information et de la communication (TIC) en réponse à la United Nations Millennium Development Goals (MDG) pour mettre fin à la pauvreté et à la famine, fournir une éducation primaire universelle, assurer la soutenabilité environnementale et développer des partenariats globaux pour le développement

Certains sujets sont aujourd'hui tabou : comme la taille de la population humaine, qui est malheureusement devenu un vrai problème, car plus la population augmente et le niveau de vie plus les besoins également, et cela augmente les tensions et au lieu d'élever les sociétés le débat se reporte sur les choses les plus élémentaire : manger, avoir un toit, la sécurité, avoir un travail... sans oublier la croissance des injustices, les écarts entre les super riches et les super pauvres, le fait qu'une voix est dilué dans un régime démocratique et donne un sentiment d'impuissance, et que dans certaines " républiques populaires " surpeuplées, une vie humaine ne vaut quasiment plus grand chose...les changements si ils devaient s'intensifier, ne feraient qu'accentuer des problèmes déjà existant : guerre, famine, maladies, chomage...on voit aujourd'hui apparaitre du néo-malthusianisme pour un contrôle des populations. Peut-être aurait on du accompagné les avancées médicales au lendemain de la seconde guerre mondiale avec une éducation des populations pour éviter de se retrouver avec ce problème (du fait de la taille de la planète et que les ressources ne sont pas infinies), mais le passé est le passé. Aujourd'hui on se heurte aux grandes religions qui jouent sur le fait de faire pencher leur part de marché en incitant les fidèles à faire des bébés, et au néo libéralisme qui est un système déficitaire refilant la dette à la génération suivante plus nombreuse. Quoiqu'on en dise les études montrent que globalement le niveau de vie augmente un peu partout, et on nous fait peur avec une lointaine crise du pétrole, alors qu'une crise alimentaire semble plus probable et plus proche, une guerre économique (qui se traduit par des vrais conflits armés dans des pays instables) sur le contrôle des matières premières a également déjà commencée (cf l'émission dessous des cartes, où l'on peut voir sur une carte les ressources naturelles dans certains pays qui coïncide avec la carte de la présence de l'OTAN ou des groupuscules autonomistes en Afrique...), et l'eau est probablement le premier sujet de préoccupation environnementale que nous devrions avoir (de la gestion des océans à l'eau potable)...

Après l' éducation, et une natalité raisonnée, les autres enjeux seraient à mon avis : refonte des structures internationales pour définir un cadre réglementaire mondial, passer à l'après dollar et avoir une valeur de référence qui ait du sens (entre économie réelle et argent virtuel), un Bretton Woods 3, éviter que les grands enjeux de demain soient déterminés par des personnes non élues, et prendre cela en compte dans les structures de régulation ou de pouvoir élu (aujourd'hui les élus font appels à des fonctionnaires dépassés qui font appel à des experts missionnés par les mêmes multi-nationales sensées être régulées....). Viendrait seulement après la réduction de l'empreinte environnementale et la réduction de l'énergie grise (qui sans cadre réglementaire international auraient peu de sens). Sur ce sujet je vous invite à regarder ma présentation sur le e-sustainable : http://blackrabbit.fr/2009/11/29/e-sustainable-developpement-soutenable-greenit/

La réduction de l'empreinte environnementale, c'est plein de chantiers... Quand vous consommez un produit c'est utiliser le moins possible de matériaux, et notamment de matériaux rares, et faire en sorte que votre produit soit recyclable et recyclé en fin de vie. Mais c'est également l'éco conception : de bâtiment par exemple, avec une meilleure indépendance énergétique voire un bilan positif ou à minima neutre, ainsi que de manière plus globale l'aménagement du territoire : aujourd'hui on incrimine le réchauffement climatique de tout un tas de maux... certains lacs sont asséchés, on oublie d'expliquer que des barrages ont été construits en amont par d'autres pays... des zones sont inondées, on oublie de dire qu'on a supprimé les bocages, qu'on a détourné des fleuves, qu'on a détruit des éco systèmes spongieux comme les bayous pour y chercher du pétrole, et on s'étonne du résultat à la fin... il est important d'avoir une vision sustainable et pas écologique... le sustainable c'est la confluence des facteurs environnementaux, sociaux et économiques. C'est la clef de la réussite. Concernant la réduction de l'énergie grise, il faut prendre en compte non pas la consommation d'un appareil mais son cycle de vie, de sa création, conditionnement transport utilisation jusqu'au recyclage. quand on regarde qu'un bout on peut facilement faire des choses absurdes : délocaliser des industries polluantes dans le tiers monde, certes on ne pollue plus chez soi, mais le problème n'est pas réglé et en plus vous rajouter un transport de matériaux dans la chaine... les ampoules à économie d'énergie : certes cela consomme moins mais cela utilise des matériaux rares...

Pour un pays comme la France il faudra sortir de notre exception culturelle d'immobilisme et adopter une approche plus anglo saxonne, plus pragmatique. Le problème n'est pas tant la prise de conscience pour le coup ou les chantiers d'études lancés pas les industries concernées, mais bel et bien une gestion pragmatique. Certains pays comme les USA ont commencé après nous et ont déjà une rame d'avance.Ce n'est peut-être pas la peine de vouloir réinventer l'eau chaude, il existe déjà suffisamment de solution ou d'orientations,ce qu'il faudrait c'est un plan de mise en œuvre concerté pour 2020 et 2030.

Quoiqu'il arrive il y aura des tensions à régler qui seront sensibles. Les pays de la BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) vont continuer leur ascension, et seront plus sensibles à leur stabilité économique. La chine peut se targuer d'avoir déjà mis en place un contrôle des naissances. Dans l'estimation de la Caste, on va assister à un transfert de pouvoirs d'homme blancs européens, babyboomers vers des quarantenaires asiatiques, les rênes du pouvoir vont changer c'est un fait. A cela se rajoutera le vieillissement des populations occidentales versus des populations tiers mondistes en progression. Avec la télé qui fait croire à un monde meilleur partout dans le monde chez nous (les occidentaux), les trafiquants d'être humain, le chomage, l'insécurité, les guerres, la famine, les flux migratoires risqueront de devenir croissant. Le problème, on le voit déjà avec les réfugiés nords coréens qui passent au sud, et qui ont un tel décalage que leur adaptation devient difficile, c'est que nous ne vivons pas aux mêmes époques. L'éducation n'aura jamais été aussi importante, et partager un modèle de société ne sera jamais aussi important.

D'autres ressources sur le sujet :
Synthèse sous tous les points de vue possible (politique, économique, environnementaliste...)
http://libertesinternets.wordpress.com/2008/11/24/les-incroyants-du-changement-climatique/

L'excellent point de vue de David Bellamy

http://laurent.berthod.over-blog.fr/article-rechauffement-climatique-la-science-sacrifiee-sur-l-autel-de-la-pensee-unique-37873266.html
Le réchauffement planétaire est la plus grande arnaque depuis la vente d'indulgences par l'église au Moyen Âge. Si notre gouvernement pense vraiment que tous ces gens vont mourir, pourquoi a-t-il construit le Terminal Cinq ?Je fait depuis 22 ans des recherches sur la stabilité des écosystèmes, toutes liées à l'activité humaine. C'est pourquoi je suis devenu l'un des principaux écologistes des premiers jours. Je me suis trouvé sur les piquets de grève sans doute plus que quiconque pour faire cesser le défrichement des forêts et des parcs d'éoliennes, et la surexploitation des mers. Mais quand les discours scientifiques ne riment à rien, on a commence à les mettre en doute. Le niveau de CO2 a augmenté dans l'atmosphère, mais pourquoi toutes les autres partie de la science ne forment-elles pas bloc autour de ça ?La vitesse de recul des glaciers dans le monde n'a pas changé. Les données les plus récentes montrent en fait que les calottes glaciaires du nord et du sud s'accroissent. Des examens récents de carottes de glace montrent que les hausses de température sont suivies de dégagement de dioxyde de carbone, pas l'inverse. Je serai bientôt en Nouvelle-Zélande, où deux des plus grands glaciers sont en train de s'étendre comme des dératés. Et depuis 1998 il n'y a pas eu du tout d'élévation de la température terrestre. À vrai dire, toutes les données sur les taches solaires indiquent que nous allons vers 15 années très froides.De nombreux documents révisés par des comités de lecture spécialisés montrent que, le CO2 augmentant, nombre de plantes et forêts poussent jusqu'à 40 pour cent plus vite. Le New Scientist a rapporté que 300.000 kilomètres carrés d'ancien désert sont aujourd'hui couverts d'arbres. Pourquoi ne médiatise-t-on pas une seule de ces bonnes nouvelles ?La température mondiale augmente à un rythme naturel qui a commencé il y a 300 ans. Ce changement de tendance ne s'est pas modifié depuis lors, comment pouvons-nous prétendre que le carbone en est la cause ? L'activité du Soleil est davantage corrélée au changement de température que le carbone.Le monde entier est branché sur la peur du carbone, et il n'y a rien à en craindre.Le consensus scientifique est faible, mais à chaque fois que j'allume la télévision ou lit un journal, j'entends qu'il existe. La BBC nous raconte sans cesse que les lacs d'Afrique sont en train de s'assécher à cause du réchauffement planétaire. Les lacs s'assèchent à cause des barrages autour d'eux, et du fait que nous utilisons l'eau des collectivités locales pour produire des fleurs coupées pour le marché européen. Pourquoi ne nous dit-on pas ces choses ?Si vous examinez les arguments de la littérature approuvée par des spécialistes de notre côté, elle ne prévoir aucune catastrophe climatique à la quasi unanimité. Mais on en est arrivé à une situation de maccarthysme dans la science. En tant que professeur d'université, j'ai l'habitude d'essayer de faire accepter un dixième de mes articles dans la revue scientifique hebdomadaire Nature.Mais Nature ne touchera aucun papier contre l'éthique du réchauffement planétaire. J'ai été traité de négationniste. S'ils ne craignaient pas vraiment de perdre le débat, ils n'écriraient pas ce genre de choses.

Richard Lindzen:

et Science du Climat : Est-elle, de nos jours, apte à répondre aux questions ? : http://www.pensee-unique.fr/LindzenVF1.pdf

Lindzen est un très brillant scientifique dont je parle dans mon article qui se pose des questions sur le financement des sciences et l'indépendance de celles -ci, c'est extrêmement intéressant et le ClimatGate devrait en fait plutôt alimenter ce débat de l'indépendance des sciences et de leur financement plutôt que le pour ou contre la thèse du réchauffement... :

Bien que les changements dans la culture scientifique aient joué un rôle important pour rendre la science plus vulnérable à l'exploitation par les politiques, la résolution de questions spécifiques est peut-être possible sans aborder explicitement les problèmes structurels de la science. Aux États-Unis, où le réchauffement climatique est parvenu à s'embrouiller dans une politique partisane, il y a une opposition naturelle à une exploitation qui ne soit pas spécifiquement fondée sur la science elle-même. Toutefois, le rétablissement du paradigme scientifique traditionnel demandera de plus sérieux efforts.
http://www.unmondelibre.org/Martin_consensus_rechauffement_021209

Libres points de vue des académiciens sur l'environnement et le développement durable : http://www.cdurable.info/Libres-points-de-vue-d-Academiciens-sur-l-environnement-et-le-Developpement-Durable,2155.html
avec les videos :http://www.dailymotion.com/woody22

Emmanuel Martin :
http://www.unmondelibre.org/Martin_Copenhague_science_301109

La fable du réchauffement climatique : http://alain49.fiftiz.fr/blog/1960,la-fable-du-rechauffement-climatique.html

NRH: Vous soutenez que si le désert du Sahara " avance ", ce n'est pas pour les rai­sons habituellement invoquées. Mais si un réchauffement climatique durable se pro­duisait, ne serait-il pas à craindre en Afrique où l'on nous prédit des catastrophes terri­fiantes dues à l'élévation des températures?

L'histoire nous montre que toutes les périodes "chaudes" ont été en Afrique des périodes pluvieuses, notamment le Moyen Âge qui a permis la prospérité (entre 1200 et 1500) des grands empires sahélo-soudaniens. Quant à la diminution actuelle de la pluie au sud du Sahara, c'est tout le contraire d'un scénario de " réchauffement ", ce qui apporte un démenti flagrant à ce que prétend le GlEC (Groupement intergouvernemental pour l'étude du climat). Il faut en effet souli­gner que sous les tropiques les précipitations tombent majoritairement en saison chaude. Si un réchauffement devait réellement se pro­duire, il se traduirait par une amélioration pluviométrique, or ce n'est pas le cas actu­ellement Le glissement actuel vers le sud de la zone sahélienne donc du Sahara, est de l'ordre de 200 à 300 km et le phénomène, qui a débuté dans les années 1970, s'inscrit comme au DMG, entre 18 000 et 15 000 avant nos jours, lorsque le Sahara s'était déplacé de 1 000 km vers le sud, non pas dans un contexte de réchauffement des pôles mais au contraire dans un schéma d'accentuation du refroidis­sement des pôles, ce qui contredit encore une fois le scénario infondé du GIEC, des écolo­gistes et des médias.

NRH : Pardonnez cette question brutale: la terre se réchauffe-t-elle, oui ou non?
La température moyenne dite" globale" a augmenté de 0,74 °C au cours de la période 1906-2005 (GIEC, 2007). Mais, surtout, les données d'observation montrent que des régions se réchauffent tandis que d'autres se refroidissent. Certaines régions se sont ainsi refroidies comme l'Arctique occidental et le Groenland, tandis que d'autres se sont réchauf­fées comme la mer de Norvège et ses pour­tours, à l'échelle annuelle de l'ordre de ± 1°C et en hiver de l'ordre de ± 2°C, au cours de la période 1954-2003. L'espace Pacifique nord connaît une évolution comparable avec un refroidissement sur la Sibérie orientale, parti­culièrement en hiver, et un fort réchauffement sur l'Alaska et le détroit de Béring. Il est donc absolument inexact de prétendre que la pla­nète se réchauffe. Le " changement climatique" n'est pas synonyme de " réchauffement global" car il n'existe pas de " climat global ". De plus, et comme je viens de vous le dire, l'évolution du climat ne dépend en aucune façon du CO2, et l'homme n'est en aucun cas responsable de ce dernier, sauf dans le cadre limité des villes.

Pourquoi ne pas dire qu'ils ont été plus réduits encore dans les Alpes au Moyen Âge, et que la longueur aujourd'hui observable 1 de leur langue glaciaire dépend de leur alimentation en neige antérieure à la période actuelle ? C'est d'au­tant plus vrai à l'al­titude des neiges du Kilimandjaro, autre exemple hyper médiatisé, proche de 6000 mètres, où ce n'est pas la tem­pérature (ici inférieure à 0 °C) qui a varié mais, comme ailleurs, les conditions de la pluviosité (M. Leroux, 1983,2001)

La météo au Moyen Age : http://lartdesmets.e-monsite.com/rubrique,la-meteo-du-moyen-age,304150.html

IPCC en 1996, le même diagramme amélioré en 2001 :

La grande arnaque : http://www.prisedeconscience.org/science/rechauffement-climatique-la-grande-arnaque-1099

Le film réponse à Al Gore (Angleterre) : http://www.liberte-cherie.com/a2751-Changement_de_climat_l_origine_humaine_du_rechauffement_est-elle_certaine_.html

cette video a été très justement critiquée par les alarmistes, qui pourtant n'ont pas eu cet esprit critique avec le film d'Al Gore... cela montre comment il peut-être facile d'être convaincant quelque soit sa position, et que les positions aujourd'hui relèvent plus souvent de la foi. Où est passé notre esprit critique ?
En anglais

The simple way to reduce carbon emission (sujet traitant de l'automobile)
http://network.nationalpost.com/np/blogs/tradingdesk/archive/2009/12/03/the-simple-way-to-reduce-carbon-emissions.aspx

Lord Moncktons
http://michellemalkin.com/2009/10/19/lord-moncktons-warning-to-america/

Les alarmistes reconnaissent que le débat n'est pas clos :
http://www.propagandamatrix.com/articles/november2009/112409_alarmists_admit.htm