Copenhague : dernières grandes fausses manoeuvres et joyeux noel

Par Maaxtal

Alors que tout le monde est tourne vers Copenhague,beaucoup de pays n ont toujours pas compris l enjeu,voir l australie et l inde.Le temps n est plus aux enfantillages.Les problemes sont plus importants que toutes les institutions banquaires pouvant exister.Ce n est pas un probleme d argent mais de temps ,pour faire marche arriere dans les gigantesques erreurs scientifques,qui ont pousse la Terre dans ces derniers retranchements.

En Suisse,on ne pense pas trop a Copenhague,mais plutot a recreer un big bang qui pourrait tout simplement se produire suite a la surchauffe de la planete bleue.Et en quoi les resultats seront necessaires ?En rien la planete sera morte.

En France ,on court apres des compromis,aux quatres coins du monde,alors que certains preferent se faire la guerre.

En Iran,le nucleaire est plus important que la planete.

En Russie ,Putin prefere engranger de l argent grace au gaz,condition qui va encore plus aider la planete a surchauffee.

Pendant ce temps,le President Americain prepare une offensive en Afganistan,d ou utilisation de moyens militaires aidant au rechauffement climatique.

En Coree du Nord,comme en Iran on fait mumuse avec le nucleaire.

La chine veut bien faire un effort en 2020 ,d ici la on va mettre les bouchees doubles en matiere de pollution.

En amerique du sud,car la c est un continent laisse a la merci des braconniers du bois,etd des promoteurs voleurs.

Et l exemple le plus flagrant du "jmenfoutisme international" combien de sapins vont mourir pour une fete commerciale,alors que souvenez vous dans l etable ,Jesus n avait pas de sapin!

article de :http://copenhague-sauver-la-terre.hautetfort.com/climat/

A cinq jours de l'ouverture du sommet climatique de Copenhague, la partie de poker menteur continue entre les principaux protagonistes.

Le Danemark cherche un compromis
Dernier épisode en date : la publication par l'agence Reuters d'une informatiion sur un document qui proviendrait du gouvernement danois et qui trace les grandes lignes de ce qui pourrait être le cadre d'un accord à Copenhague.

Le document fait état d'un objectif global de réduction de 50% des émissions mondiales de CO2 à l'horizon 2050 pour ne pas dépasser une hausse de 2°C de la température moyenne d'ici la fin du siècle.
80% de cet effort de réduction seraient à la charge des seuls pays développés, ce qui signifie que le reste serait à la charge des pays en développement, une nouveauté par rapport au protocole de Kyoto.

Le projet ne fait pas état d'étapes intermédiaires pour ces réductions mais avance 2020 comme date à partir de laquelle le volume des émissions globales devrait atteindre son pic.

"Clairement inacceptable" pour les Indiens
Le Premier ministre danois a démenti que son gouvernement ait avancé une telle proposition mais indiqué que des consultations étaient en cours pour parvenir à une hypothèse de compromis.
Dans ce contexte, on peut supposer que la "fuite" publiée par Reuters répondait à la volonté de lancer un ballon d'essai.

La réaction n'a pas tardé, venant de l'Inde, le pays qui s'est le moins avancé dans la négociation climatique.
Jairam Ramesh, le ministre indien de l'Environnement, a confirmé à une télévision de son pays avoir eu accès au document danois dont il qualifie les propositions de "clairement inacceptables pour nous".

Selon la presse indienne, ce refus serait motivé par le fait que le document danois propose que tous les pays commencent à réduire leurs émissions à partir de 2025.

Les pays émergents font bloc
Cet épisode vient rappeler qu'il existe un fossé entre les pays industrialisés et les grands pays émergents en dépit des signes conciliants donnés récemment par la Chine et le Brésil.

Preuve de la persistance de ces blocs : la presse indienne fait état d'une position commune pour Copenhague établie la semaine dernière entre la Chine, l'Inde, le Brésil, l'Afrique du Sud et le Soudan qui préside le G-77 (coalition des pays en développement). 

Sont considérés comme des points inviolables : pas d’objectif à 2050, pas d’annonce chiffrée absolue de réduction d’émissions, pas de notion de «pic de rejet», ni de mécanismes d’ajustement aux frontières et enfin, les actions non soutenues financièrement ne pourront pas faire l’objet de négociations internationales. 

Et pour bien enfoncer le clou, le ministère des Affaires étrangèes chinois vient de prévenir : "Les pays développés doivent tenir compte des préoccupations et des intérêts des pays en voie de développement".