Bartók a voulu que sa musique soit contrapuntique (...) le deuxième concerto a trouvé la reconnaissance critique et la popularité mondiale.
Les mouvements sont :
La forme globale du deuxième concert est symétrique - la structure de tempo est rapide-lent-rapide-lent-rapide’’. Le premier mouvement, allégro marqué’’, est marqué par le solo de piano actif et ponctuant. Le piano rapide, l'allure rythmique et le mouvement scalaire fragmentaire suggèrent l'influence de Stravinski. L'instrumentation trahit pareillement l'affinité de Bartók avec Stravinski, car la section des cordes demeure silencieuse pour le premier mouvement entier - une caractéristique qui reflète également une emphase croissante sur les vents et les percussions des sections de l'orchestre dans les premières décennies du vingtième siècle. Les sections du contrepoint de style néo-Bach peuvent également refléter l'influence de Stravinski (...)