30 novembre 2009
Blood Dolls
genre: horreur
Année: 1999
durée: 1h25
l'histoire: Autrefois homme d'affaire fortuné, Virgil Travis, transforme une avocate, un procureur et un juge en poupées tueuses dans le but de se venger des trois financiers qui l'ont mis sur la paille.
la critique de Eelsoliver:
J'ai abordé plusieurs fois Charles Band sur ce blog: souvenez-vous des épisodes de la saga Ghoulies (j'avais chroniqué les deux premiers opus) et de retro puppet master.
Autant dire que l'on parle d'un véritable tâcheron et d'un spécialiste des séries B horrifiques faisandées, visiblement fan des poupées diaboliques.
Avec Blood Dolls, le réalisateur remet donc le couvert et nous sert à nouveau un véritable navet. L'histoire se concentre sur un homme d'affaire, Virgil Travis, désormais ruiné.
Trahi par quelques hommes de justice, il utilise alors ses marionnettes pour les massacrer. Pour cela, il les attire dans son manoir mystérieux.
A noter que l'homme se cache derrière un masque affreux et qu'il cherche à ne pas dévoiler son visage horrible. Virgil Travis est donc un être maléfique et ce que l'on appelle un freaks, une curiosité de la nature ayant une tête disproportionnée.
Pourtant, un jour, une très belle jeune femme s'invite dans son manoir.
Elle prétend être amoureuse de Travis mais ce dernier lui prête de mauvaises intentions. Le film se transforme alors en fausse romance horrifique, certes amusante mais vite lassante.
Blood Dolls propose alors deux fins alternatives: une qui finit mal et l'autre qui se termine en contes de fée macabre. Rien de bien transcendant au final mais ça reste toujours un peu mieux que la série des Puppet Master. C'est déjà ça de pris...
Note: 06.5/20
Posté par EELSOliver à 18:04 - horreur, gore et épouvante - Commentaires [12] - Rétroliens [0] - Permalien [#]Tags : Blood Dolls, Charles Band, horreur, nanar, navet, poupée