basta novembre, à nous le dernier mois de l'année... en ce moment, c'est petit moral et grosse fatigue, la routine, mais tout va bien, quand je me rappelle l'année dernière je n'ai vraiment pas à me plaindre ! et puis, quand je pense à alwenn, je me dis que tout est futile, minuscule, minime, sans importance ... j'écoute la chanson de vanessa paradis, et mon esprit s'évade, cette chanson dit tout, elle est vraiment très belle.
bilan du mois, le rendez-vous, en novembre j'ai donc aimé :
- Cathy's Key [#]
- Vamp in love, saison 2 [#]
- La prime, Janet Evanovich [#]
- Au bord de la tombe, Jeaniene Frost [#]
- Les Monts des Brumes, Les voyages de Théodore [#]
- Une femme sans peur, Lee Jackson [#]
- Marked, PC & Kristin Cast [#]
- Le baiser du Vampire, Melissa de la Cruz [#]
- Le voleur de magie, Sarah Prineas [#]
(rien de consistant, mais c'est la faute à l'envie, plus l'envie, etc.)
Il y a là la peinture, des oiseaux, l’envergure, qui luttent contre le vent
Il y a là les bordures, les distances, ton allure, quand tu marches juste devant
Il y a là les fissures, fermées les serrures, comme envolés les cerfs-volants
Il y a là la littérature, le manque d’élan, l’inertie, le mouvement
Parfois on regarde les choses, telles qu’elles sont, en se demandant pourquoi
Parfois on les regarde, telles qu’elles pourraient être, en se disant pourquoi pas
Il y a là là là, si l’on prenait le temps, si l’on prenait le temps
Il y a là la littérature, le manque d’élan, l’inertie, le mouvement
Parfois on regarde les choses, telles qu’elles sont, en se demandant pourquoi
Parfois on les regarde, telles qu’elles pourraient être, en se disant pourquoi pas
Il y a là les mystères, le silence,ou la mer qui luttent contre le temps
Il y a là les bordures, les distances, ton allure, quand tu marches juste devant
Il y a là les murmures, un soupir, l’aventure, comme emmêlés les cerfs-volants
Il y a là la littérature, le manque d’élan, l’inertie, le mouvement
Parfois on regarde les choses, telles qu’elles sont, en se demandant pourquoi
Parfois on les regarde, telles qu’elles pourraient être, en se disant pourquoi pas
Parfois on regarde les choses, telles qu’elles sont, en se demandant pourquoi
Parfois on les regarde, telles qu’elles pourraient être, en se disant pourquoi pas