Le 7 juillet 1937, l’armée Japonaise lança l’offensive contre la Chine. En le 13 Aout de la même année, ils attaquèrent Shanghai, premier pas avant Nanjing. Le 12 novembre, après la reddition de Shanghai, les troupes Japonaises lancèrent leur assaut sur Nanjing depuis 3 directions différentes. Un mois plus-tard Nanjing céda et les Japonais commencèrent leurs exactions sur les soldats Chinois vaincus et sur les civils, brisant tous les traités de guerres. Le massacre dura 6 semaines.
Les Chinois annoncent un chiffre de 300 000 morts mais la communauté internationale rapporte 200 000 morts. On dénonce plus de 20 000 cas de viols en réunion.
Cette tragédie est l’acte de barbarie le plus notoire, reproché aux forces Japonaises pendant toute la durée de la seconde guerre mondiale.
Les Japonais ont également occupes Suzhou, Wuxi, Changzhou, Jiangyin, Zhenjiang, Huzhou, Si’an, Guangde, Wuhu et d’autres villes encore. Ils ont commis des séries d’atrocités incluant massacres de masse, incendies, et violes en réunion. Cette partie de la Chine a énormément souffert du traumatisme infligé, et une haine débordante contre la Japon est toujours d’actualité.
Aujourd’hui, se dresse a Nanjing, un mémorial très poignant ou photos de massacres et de viols sont exposées afin de prouver au monde entier la cruauté dont les forces Japonaises ont usée à l’encontre du peuple Chinois. J’ai eu le sentiment que ce mémorial était en partie fait pour attiser la haine du peuple Japonais tant les images montrées sont choquantes et brutales. Des collègues de mon bureau sont toujours convaincues que les Japonais attaqueront de nouveau la Chine.
Une salle du mémorial énumère tous les noms des disparues et diffuse leur photos. Passage poignant. Dans une autre salle, une fosse commune est mise à jour, et nous pouvons voir les os et cranes de certaines victimes.
Un film Chinois retraçant le drame, a fait polémique en Chine cet été. L’histoire est racontée par un soldat Japonais éprouvant des remords a la suite des évènements. Certains survivants dénoncent une « Schindlerisation » du soldat Japonais et donc une certaine confusion dans les faits.