Le sac que je trimballe partout sent la librairie, livres et magazines, j'adore ce parfum, j'adore le papier imprimé, sa texture, son aspect. J'aimerais un jour voir mes mots imprimés sur un beau vélin tout doux. Le problème, c'est que j'écris d'excellents débuts d'histoires, mais que le corps ne suit pas et que la fin est floue. Manque de concentration? Manque d'imagination? Manque de structure? Ou les trois? Réponse: Auto jugement, un vrai scalpel, une épée dans la soie d'un fragile parapluie. Phrase tueuse: "qu'est-ce que c'est nuuuull!!!!!" Quelqu'un posséderait-il une arme pour tuer le jugement dernier et m'arracher à cet infernal purgatoire? On a que l'enfer qu'on se donne. Aujourd'hui, j'ai décidé de commencer à dériver vers la paradis, won't only dream my stories but write my dreams! Début du fil d'Ariane, j'arriverai bien à trouver la pelote et à démêler l'inextricable écheveau…J'ai avalé "l'Homme qui voulait être heureux" et je passe au "Lâcher-prise".