« Il est impératif que notre industrie soit consciente de son impact sur la planète et nous croyons que notre politique progressiste encouragera d'autres éditeurs à se porter également sur ces importantes questions », expliquait hier David Young dans un communiqué.
En association avec Green Press Initiative, société à but non lucratif qui opère des audits auprès des éditeurs d'un point de vue environnemental, le nouveau plan de combat de Hachette devrait permettre la sauvegarde de plus de 267.000 arbres. L'idée est de parvenir à réduire l'empreinte carbone de l'éditeur de 2 % sur une base de référence tablée sur 2008.
L'autre pan de ce plan se tourne vers le recours à des arbres qui ne proviennent pas de forêts anciennes ni menacées, mais également avec l'utilisation de papier blanchi sans chlore et des encres à faible teneur en composés organiques volatiles. L'impression à la demande fera également partie des nouvelles orientations pour éviter les retours trop nombreux de livres ainsi que le pilon.