Par Serge-André Guay, éditeur, Fondation littéraire Fleur de Lys - À titre d'éditeur, je me suis fait un devoir de me procurer et de lire ce roman. Je l'ai détesté. La lecture de Catastrophes m'a donné une véritable crise d'urticaire linguistique dès le premier chapitre. Ce qu'Étienne Lalonde, chroniqueur au journal culturel Voir, a nommé comment étant des «emportements d'une langue à la vivacité noble» et traité comme étant «une langue foisonnante digne des grands stylistes du genre», fut pour moi source d'une aversion instantanée.