La Suisse gagne une grande bataille sur L'islamisation de son pays ... !!!

Publié le 30 novembre 2009 par Revolution44

Les Suisses interdisent la construction de nouveaux minarets

 29.11.2009 - 17:48

Des minarets ne pourront plus être érigés en Suisse.

L'initiative populaire "contre la construction" de ces tours ornant les mosquées a été clairement acceptée dimanche par référendum, ce qui constitue une surprise.

Près de six votants sur dix se sont prononcés en faveur de cette initiative, considérée par ses opposants comme une menace pour la paix religieuse en Suisse.

L'initiative anti-minarets était donnée perdante par les sondages.

Elle a pourtant clairement passé la rampe, recueillant 1.534.054 voix, soit 57,5%.

Le "non" a obtenu 1.135.108 voix, soit 42,5%. Le taux de participation a atteint 53,4%.

Lancée par des membres de l'Union démocratique du centre (UDC, droite populiste) et de l'Union démocratique fédérale (UDF, droite chrétienne), l'initiative "contre la construction de minarets" avait été déposée en juillet 2008 avec plus de 113.000 signatures valables.

Demandant d'inscrire dans la Constitution fédérale la phrase "la construction de minarets est interdite", elle nécessitait la double majorité du peuple et des cantons.

L'UDC était le seul parti gouvernemental à recommander le "oui".

Affirmant que l'initiative n'était pas dirigée contre l'islam ou les musulmans, ses promoteurs disent s'opposer à une "islamisation sournoise de la Suisse".

Ils estiment que le minaret n'a pas de fonction religieuse et qu'il n'est d'ailleurs pas cité dans le Coran.

Selon eux, cet édifice signalant la présence d'une mosquée est le "symbole d'une revendication de pouvoir politique et sociale de l'islam".

Il serait instrumentalisé par des intégristes qui chercheraient à imposer "la charia" en Suisse, ont-ils dit.

Jugé contraire à des droits fondamentaux comme la liberté de religion ou le principe de non-discrimination, le texte était combattu par le Conseil fédéral (gouvernement) et le Parlement.

Ceux-ci ont mis en garde contre des conséquences négatives sur la paix religieuse et en matière de politique extérieure.

Les opposants estimaient que l'initiative n'allait résoudre aucun problème mais en créer de nouveaux en exacerbant les fanatiques religieux.

Déjà lors de son dépôt et de manière inhabituelle, le Conseil fédéral avait immédiatement pris position en s'opposant fermement au texte.

La campagne de votation avait été marquée par un vif débat et une polémique autour de l'une des affiches en faveur de l'initiative.

Représentant une femme en burqa noire avec sept minarets noirs fichés sur le drapeau suisse, les affiches avaient été interdites dans plusieurs villes, dont Lausanne et Fribourg.

Les promoteurs de l'initiative ont dénoncé une forme de censure. La crise avec la Libye s'est par ailleurs à plusieurs reprises invitée dans le débat.

Il existe actuellement quatre minarets en Suisse: au Petit-Saconnex à Genève, à Zurich, Winterthour (canton de Zurich) et Wangen bei Olten (canton de Soleure).

Un recours a été déposé contre l'autorisation d'en construire un à Langenthal (canton de Berne).

"Le peuple suisse et les cantons ont accepté à la majorité l'initiative populaire 'contre la construction de minarets'", a déclaré dans un communiqué le Conseil fédéral, qui "respecte cette décision".

"La construction de nouveaux minarets est désormais interdite en Suisse.

Les quatre minarets existants ne sont pas concernés. Il reste également possible de construire des mosquées. Les musulmans de Suisse peuvent donc toujours pratiquer leur religion, comme ils le faisaient jusqu'à présent, individuellement ou en réunion avec d'autres", précise le communiqué.

La décision prise dimanche, ajoute le gouvernement, "ne constitue pas l'expression d'un rejet de la communauté musulmane, de sa religion ou de sa culture; le Conseil fédéral s'y engagera".

La "paix religieuse est un élément essentiel du modèle qui a fait le succès de la Suisse", souligne-t-il.

La Conférence des évêques suisses (CES), qui s'était engagée pour le rejet de l'initiative sur les minarets, a estimé que "la décision du peuple représente un obstacle et un grand défi sur le chemin de l'intégration dans le dialogue et le respect mutuel".

L'Union patronale suisse a aussi déploré dimanche le "oui" à l'initiative, qui "nuit à la réputation de pays ouvert et tolérant dont jouit la Suisse et entraîne des conséquences négatives pour son économie".

Cette interdiction "est contraire à la liberté de religion et vexatoire à l'égard des musulmans généralement bien intégrés", ajoute l'UPS.

"Le ressentiment a pris le dessus", a de son côté déploré Saida Keller-Messahli, président du Forum pour un Islam progressiste. Selon elle, l'initiative aura des conséquences judiciaires car elle viole le principe de la liberté de religion.

Quelque 400.000 musulmans vivent en Suisse sur une population totale d'environ 7,6 millions d'habitants, selon une estimation de la Fédération d'organisations islamiques de Suisse (FOIS), sur la base du dernier recensement de la population réalisé en 2000.

A l'époque, on dénombrait environ 311.000 musulmans.

                       Réaction du monde arabe

29 novembre 2009 19:18

La droite dure européenne fête l'interdiction de minarets en Suisse

Les pays musulmans et les médias étrangers ont manifesté un vif intérêt pour l'interdiction des minarets approuvée par le peuple suisse.

Les réactions mêlent surprise et déception, alors que des partis européens d'extrême droite saluent la décision.

En France, Marine Le Pen a salué, dans un communiqué publié sur le site du Front national, la "très franche majorité" obtenue par l'initiative, malgré l'opposition des "élites".

Autres partis européens de droite ou d'extrême-droite, notamment en Italie et en Autriche, ont salué l'acceptation de l'initiative.

Ils y voient une victoire contre "l'islamisme radical" et un exemple pour leurs propres pays.

Dans les médias arabes, les commentateurs voient dans ce résultat une régression de la Suisse, qui se détourne de ses valeurs, selon le directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen à Genève.

Surprise, incompréhension et déception dominent.

D'autres se réjouissent du "oui": ils espèrent que cela fera revenir les musulmans de Suisse, parmi les plus intégrés, à leurs valeurs, a ajouté le directeur.

En ce qui concerne la crise entre la Suisse et la Libye, le spécialiste genevois juge que le "oui" à l'initiative est "un cadeau" pour le régime de Mouammar Kadhafi.

Le "oui" choque les pays musulmans, selon le correspondant de la chaîne de télévision Al-Jazeera en Suisse.

Le journaliste ne juge pas le résultat "hostile à l'islam" mais comme un "vote de défiance du peuple suisse".

Le Conseil fédéral a reçu des communiqués de presse de réaction de l'étranger.

Une "grosse déception" domine, a indiqué la ministre de la justice Eveline Widmer-Schlumpf.

Les premières réactions dans les territoires palestiniens vont de l'incompréhension à la colère; même les plus modérés parmi les Palestiniens avouent leur "stupeur" et leur "indignation".

la mosquée de Lion

Kamel KABTANE appelle à une réaction de tous les musulmans, des fidèles de toutes les religions, et de tous les démocrates, au niveau européen, pour s'opposer à ce que "ce vote, contraire aux fondements du droit, devienne une loi."

 le FN satisfait

La vice-présidente du Front national français (FN, extrême-droite), Marine Le Pen, s'est félicitée du résultat du référendum interdisant la construction de minarets en Suisse, demandant aux "élites de cesser de nier les aspirations et craintes des peuples européens".
Les Suisses ont décidé dimanche par référendum à une très large majorité (57,5% des votants) d'interdire la construction de minarets.

 "A une très franche majorité, les Suisses viennent de faire mentir les sondages, en refusant massivement l'édification de minarets en Suisse", s'est réjouie Mme le Pen dans un communiqué.
Les sondages prédisaient durant la campagne un rejet de la proposition de la droite populiste par 53% des votants. La responsable frontiste a relevé qu'en "Suisse, comme en France, les +élites+ étaient pourtant massivement pour".

 "Ces +élites+ doivent cesser de nier les aspirations et les craintes des peuples européens qui, sans s'opposer à la liberté religieuse, rejettent les signes ostentatoires que veulent imposer des groupes politico-religieux musulmans, souvent à la limite de la provocation", a-t-elle poursuivi.
"Au moment où Nicolas Sarkozy réduit, sur ces sujets, son action à un électoralisme cynique", elle a appelé "les Français qui n'ont pas la chance de pouvoir s'exprimer par référendum à le faire, massivement, lors des élections régionales de mars prochain".

- Communiqué de presse du 29 novembre 2009 -

Interdiction des minarets :

la France doit suivre

l’exemple suisse

Non ! Pour toute l’Europe, ce vote suisse résonne comme un coup d’arrêt et un espoir.

Un coup d’arrêt à l’islamisation de l’Europe, et l’espoir du réveil des peuples européens pour la défense de leur civilisation.

L’espoir aussi que les peuples seront enfin entendus et que les dirigeants qui n’ont reçu aucun mandat pour permettre l’implantation durable de l’islam sur notre sol cesseront leurs concessions aux islamistes.

Le Bloc identitaire réclame l’extension du champ d’application de l’article 11 de la Constitution française afin que soit organisé dans les meilleurs délais un véritable référendum d’initiative populaire sur l’édification de « mosquées cathédrales » et l’érection de minarets en France.

Il saisira dès lundi l’ensemble des parlementaires français, députés et sénateurs, de l’urgence de cette réforme.

FRANCE REVOLUTION

s'associe a l'initiative Suisse et du bloc identitaire

- Moi leader de FRANCE REVOLUTION , Je ne peux m'empêcher de vous transmettre ma joie ...

- cette interdiction de construction de minarets , bien quelle soit voté en Suisse est une grande bataille de gagné sur l'islamisation de l'Europe .

- maintenant ce sont tous les pays européens qui doivent ce tenir la main pour interdire aussi la constructions des mosquées chez nous et interdire la venue de nouveaux migrants et immigrés sur le sol Français .

- c'est un petit pas pour la Suisse mais un grand pas d'espoir pour l'Europe toute entière contre l'islamisation .

- La France se doit de prendre exemple sur cette démocratie qu’est la Suisse, qui donne vraiment la parole au peuple.

- Endiguer la progression de l’islam avant de le faire reculer, c’est possible.

- Ce 29 novembre 2009, les libres citoyens de Suisse l’ont fait.

- A nous d’en faire autant , n'ayons pas peur , il est temps de ce réveiller si nous ne voulons pas être les objets de l'islamisation .

- Mais le "problème de fond", c'est "celui de l'immigration massive .

- Exiger ce que chaque pays est en droit d'exiger .

- le respect de ses lois, mais aussi de ses moeurs, de ses coutumes, de ses traditions, et même de ses goûts".

Tous ensemble nous le pouvons

( Info de dernière minute ) 

Les politiques ainsi que toutes les associations et les journalistes Suisse , crient ce matin au scandale contre l'électorat qui a voté pour le OUI a l'interdiction des minarets .

Mais qu'est ce qui fait que ceux ci crient au scandale et a la honte , hé bien moi je vais vous le dire car j'ai écouté les infos et les protagonistes de l'écoeurement , avec une très grande attention ce matin a la radio .

Et tous déclarent avoir peur des réactions des musulmans de Suisse mais pas seulement , également les retombés qui pourrait être néfastes pour leur économie , le boycotte de leurs produits , les otages retenues en Libye .... etc .

Ceci est bien la preuve que la peur de l'islam c'est installé très profondément , non seulement chez les partisans du( OUI ) a l'interdiction de minarets , mais aussi et voire encore plus chez les partisans du ( NON ) qui eux ont peur et l'expriment ouvertement .

C'est bien connu , la peur et les menaces font que les gens voterait bien pour le ( OUI ) mais s'abstiennent seulement a cause du risque de représailles .

Encore une fois , c'est bien la preuve que la peur est bien encrée , non seulement en Suisse mais aussi dans tous les pays de la communauté Européenne .