Magazine Culture
Perdu à la Fnac entre les ouvrages sur Miles Davis ou Mickael Jackson, une pépite de Stan Cuesta journaliste à Rock & Folk sur Jeff Buckley est à se procurer absolument. Ou à glisser sous le sapin, car avec Lady Péné nous pouvons d’ores et déjà vous conseiller quelques coups de coeur à offrir pour Noël.
Cette biographie est également un témoignage inédit, écrit par un des premiers à l'avoir rencontrer.
29 mai 1997 : trois petites années à peine après avoir été révélé par son premier opus Grace, Jeff Buckley disparaissait accidentellement à l'âge de 30 ans en se noyant dans le Mississippi.
C'est en effet l'unique album studio du chanteur et guitariste américain sorti en août 1994. Acclamé par la critique, et devenu culte par le destin tragique de son interprète, Grace est bouleversant. Considéré comme l'un des meilleurs de la décennie, il inspirera des groupes comme Radiohead, rien que ça !
Dans les 11 titres, il y a bien sûr sa reprise du mythique Hallelujah de l'incontournable Léonard Cohen, évinçant toutes les autres versions, même celle de Bob Dylan...
Il y a également Last Goodbye B.O. du film Vanilla Sky, et une de mes préférées, Lilac Wine, B.O. de Ne le dis à personne. Je pourrais l'écouter en boucle, la voix de Jeff y est émouvante au possible. La preuve :