- Etre divertissant : l'utilisation des canaux web MySpace et Youtube, où les utilisateurs vont pour se divertir, a été l'occasion de faire des vidéos récréatives tout en étant vecteur d'un message important, faire des économies (regardez la chaine Truman Greene sur Youtube et son MySpace) >> Les contenus sont à véritable valeur ajoutée visible pour les consommateurs tout en étant en phase avec l'objectif d'utilisation initial, c'est-à-dire le divertissement
- Etre utile : le marketing doit utiliser les réseaux sociaux comme un outil de compréhension des consommateurs d'implication des marques dans des relations d'humain à humain et non de publicité à consommateur >> l'implication des consommateurs dans la marque, les inciter à se l'approprier, à en faire partie, tous ces objectifs permettent de prendre une autre position et de devenir réellement utile et donc de générer du bouche à oreille
- Associer publicité web traditionnelle à la campagne innovante sur les réseaux sociaux : c'est un outil incontournable pour faire connaître sa campagne (on parle ici de visibilité, pas de notoriété), mais c'est aussi prêter le flanc aux commentaires négatifs >> plus vous vous afficherez et prendrez la parole, plus vous serez soumis aux critiques car plus vous serez visible, c'est ensuite à vous de retourner la vapeur dans la campagne (et vous payez vos agences de communication pour cela non ?)
- Utilisez Twitter pour créer une relation plus personnelle : 140 caractères par message nécessite d'être plus direct et plus convivial en évitant le jargon et les mots qui en font trop (et surtout un très bon concepteur/ rédacteur dans l'équipe qui travaille sur votre projet, ainsi qu'un consultant qui maitrise les réseaux sociaux ... ca marche bien mieux comme ca) >> Pour la France, vous pouvez passer outre Twitter, c'est un phénomène qui n'est pas encore importé avec succès
- Soyez accompagné d'une agence qui connaît les réseaux sociaux : la structure des grosses agences de communication du moment n'est pas faite pour travailler sur des réseaux sociaux (et ils sont généralement en retard sur cette thématique), pensez à des agences plus réactives et spécialisées
Pour conclure, le point de bascule entre une bonne et une mauvaise campagne sur les réseaux sociaux se situe dans la capacité à offrir une information à valeur ajoutée visible par le consommateur (pas toujours évident à faire) dans une forme qui correspond aux attentes des consommateurs qui sont habitués à ces réseaux et qui ont des exigences particulières pour accepter votre publicité (car cela reste de la publicité au bout du compte, soyons clair).
Source :