Je ne comprends pas, mais là ça devient frustrant.
Marlène et moi sommes allés faire une longue promenade dans le parc Manicouagan hier. La température était froide, à cause du vent violent.
Nous étions bien emmitouflés dans nos vêtements d’hiver. Tuque, cache-cou, mitaines, nos corps pratiquement perdus dans nos doudounes.
Malgré pareil déguisement, ce matin j’ai le nez qui coule comme un érable au printemps, mais pas seulement la nuit, le jour surtout. J’ai un nouvel accessoire qui me suit partout, la boîte de papier-mouchoir, assorti avec mes vêtements (blague évidemment). J’éternue à tout moment, j’explose de dégagement, je n’en peux plus de ces sternutations imprévisibles. J’arrose tout, je deviens infréquentable.
Ce qui me turlupine, me fâche et m’insulte, pourquoi suis-je le seul à être affligé de ces symptômes? Marlène n’a rien, pas le moindre sursaut, nul, nenni. Pourtant, nous étions vêtus de la même façon. On dirait que mon pif est incapable de supporter la moindre brise un peu fraîche. Grrr!
À moins que mon système immunitaire soit défraîchi…
Lo x