Béatitudes technologiques

Une fois n'est pas coutume, soyons aujourd’hui totalement pragmatiques.

Si vous êtes un tant soit peu curieux z-et curieuses, vous aurez sans aucun doute remarqué que j’ai ajouté il y a peu une rubrique « Newsletter », à laquelle vous, mes innombrables fans ( ! ) pouvez désormais vous inscrire. Oui, je sais, c’est merveilleux !

Je vous guide : dans la colonne de droite, en haut, admirez la photo du jour (qui ne changera pas tous les jours, qu’on se le dise !).

Laissez ensuite votre regard doucement glisser vers la partie « Présentation » et vers mon magnifique visage dont le style mystérieux est ici renforcé par un extraordinaire effet d’optique bleuté. Émouvant, non ?

Continuez votre balade vers le bas, toujours dans cette fameuse colonne de droite, et remarquez comme je vous ai amoureusement listé quelques sites intéressants (d’autres viendront s’ajouter ultérieurement, bien entendu).

Éventuellement, faites une pause à ce niveau, comme le spéléologue suspendu immobile au-dessus de la crevasse, ou le plongeur entre deux paliers de décompression.

Puis reprenez votre progression descendante. Notez en passant l’existence de la case « Retrouver les articles ? » (pour plus tard, lorsqu’inévitablement, un soir de blues, vous aurez l’envie urgente et irrépressible de relire ma prose édifiante et passionnante !), et atterrissez enfin sur la rubrique tant espérée : la newsletter, encore appelée liste de diffusion ! Cliquez dans la case blanche et extasiez-vous devant l’art technologique : après avoir tapé votre adresse e-mail (qui ne sera connue que de moi seule, ô doux privilège !), vous pourrez choisir entre être informé(ée)(és)(ées)(etc !)(et patati et patata !) de la parution d’un nouvel article ou bienrecevoir la formidable newsletter que je ne manquerai pas de vous concocter dès j’aurai trouvé ce que je vais bien pouvoir mettre dedans... Observez avec délice que vous pouvez aussi souscrire aux deux options en même temps, comble du luxe ! Applaudissez !

Votre ravissement fait plaisir à voir mes amis, vraiment. Comme quoi le bonheur tient à presque rien. Pour un peu, je vous envierais… (mais il ne faut tout de même pas exagérer).