Ca y est , j’ai mon baptême . Une première critique publique à vie sur un de mes textes publiés. Mon Jubilé de cannelle paru chez Katapulpe No 8 ce mois ci est passé sous la loupe de Richard Tremblay.
J’ai eu l’estomac noué en voyant l’effigie de la couverture de Katapulpe prônant au haut de son billet. Un jugement allait être porté sur mon texte et je sais pertinemment que Richard est juste dans ses propos et fait abstraction de l’identité de l’auteur. Advienne que pourra et je descends le billet des yeux sans broncher.
Enfin, lisant le commentaire sans cligner des yeux, je fus content et soulagé de lire cette première critique. Je ne savais à quoi m’attendre.J’avoue que je savoure cet instant précieusement mais mon côté rationnel me reprend toujours dans ces cas.Une bonne critique est un merveilleux stimuli et une dose d’adrénaline incalculable. À brève échéance, elle me portera sur une vague que j’ai bien besoin. Mais, le plus important est de relever les points négatifs et de les traiter comme des sources constructives qui contribueront à m’améliorer dans le futur.
J’ai des emplois fautifs de vocabulaire et des concordance de temps à soigner et c’est noté au calepin, soyez –en assuré.
Je suis content d’avoir plu à Richard en espérant que d’autres auront la même satisfaction.
Certain, que je savoure ce moment. Je ne m’en cache pas.
J’aurai des doses de critiques négatives bien assez vite et c’est ben correct comme ça.