J’avoue ne pas connaître le film de Tarentino. Mais rien que le titre est bien trouvé pour un «chien de garde» aussi bête que méchant – c’est d’ailleurs chose connue qu’un chien à l’attache est souvent des plus féroces – que, ce me semble, Laurent Joffrin a traité de «petit roquet»…
Quant à ce que Mosco écrit, c’est du dernier rigolo : «Avec Frédéric Lefebvre, qui paraît sorti de « reservoir dogs » de Quentin Tarantino, l’excessif côtoie toujours l’insignifiant, le mur du grotesque – ou du çon, comme on dit au Canard enchaîné - est allègrement franchi».
L’article poursuivant en parlant du comédien Jacques Weber qui le même jour s’était «lâché» contre Frédéric Lefebvre sur RMC dans l’émission «Les grandes gueules» -que perso je n’apprécie pas plus que «les grosses têtes» sur RTL – en disant que Frédéric Lefebvre est «le plus vulgaire, le plus con» du paysage politique.
Cela aurait paraît-il déclenché un mini-scandale. Bof ! C’est néanmoins la preuve que mémé Kamizole n’est pas la seule à habiller Frédéric Lefebvre pour l’hiver. Du coup, il risque un coup de chaleur. En attendant un «coup de sang» ?…
Episodes précédent :
Ainsi (mal) parlait Zarathoustra Frédéric Lefebvre…
Frédéric Lefebvre : mensonges & fantaisies comptables contre la «malhonnêteté intellectuelle» de René Dosière