Des fusillades en plein Paris et même sans doute en plein jour dans un futur proche, ce sera monnaie courante. Déjà en Allemagne, les diverses mafias dans les rues de Berlin règlent leurs comptes au fusil d’assaut et ce, depuis des années. Tout le monde s’en fiche. C’est devenu le folklore quotidien.
A Paris effectivement, dans les années 80, il y avait très souvent des règlements de comptes de ce genre avec des armes à feu. Je me souviens même qu’en banlieue, en 1984, un homme s’est fait tué au volant de sa voiture sur la nationale 305 à Vitry sur Seine. Une voiture de grosse cylindrée rattrape un automobiliste durant l’été, et le passager, à moins que ce ne soit le conducteur lui-même, sort une arme de gros calibre et abat froidement l’automobiliste. La grosse cylindrée repart aussi vite qu’elle est apparut. Ça ressemblait à la fois à un règlement de compte du grand banditisme et à une sorte d’exécution style guerre froide entre espions est-ouest.
Il s’en passait des choses dans les années 80. Même à Ivry sur Seine il y a eut des fusillades. Et de très jolies. Celle qui me revient en mémoire en 1985, concernait je crois un règlement de compte dans un bistrot. Je ne sais plus lequel. Europe 1 aimait bien diffuser ce genre de truc sur les ondes.
Si jadis les fusillades ne concernaient que les parrains, aujourd’hui, elles concernent les petits voyous et autres caïds d’opérette. Voire monsieur tout le monde. Ainsi que les ripoux.
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Xavier Jaffré
VAC PRESSE
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