J'ai eu le tort de voir ce film après "la religieuse portugaise" d'Eugène Gren, et cela le dévalorise.
Alain Cavalier évoque ce que fut sa vie avec Irène , jusqu'à sa mort due à un accident de voiture; tout cela d'une façon sincère avec les bons mais aussi les mauvais moments. Il a en main les journaux des années 1970,1971,1972 . j'avoue que ce film m'a mise mal à l'aise , j'ai trop senti le côté pathologique de la relation , l'enfermement d'une vie à deux et pourtant sa nécessité pour eux . Il y avait une telle liberté dans le film vu précédemment , qu'ici je me suis sentie prisonnière d'un sujet qui ne m'intéressait pas. Je n'aime pas me sentir voyeur (voyeuse?) quand il s'agit de l'intimité d'un couple...