Je sais bien qu'il n'y a pas plus tarte-à-la-crème critique que la "youtubisation du monde et du cinéma" et "l'effet de sidération devant ces images". Il n'empêche que je ne résiste pas à ces petits (et anodins) parallèles entre titres SF et captations de phénomènes pourtant tout ce qu'il y a de plus naturels.
Une météorite passe à 90 kilomètres de la Terre. Suivant le principe inverse du flash autoroutier, cet excès de vitesse dérègle tous les gros pixels des caméras de surveillance. (Afrique du Sud, 21 novembre 2009)
Un nuage-méduse flotte au dessus de la ville. Un trou dans le ciel, à travers lequel établir les premières rencontres du troisième type ? (Moscou, 6 octobre 2009 vidéo via...)
La tempête de sable australe déborde. Ne résistant pas à reprendre sa part de désert, la capitale se transforme immédiatement en planète rouge. (Sydney, 23 septembre 2009)